Mehran Karimi Nasseri est mort ce samedi sur un banc de l’aéroport Roissy Charles-de-Gaulle peu avant midi, au terminal 2F. Ce même aéroport où il a passé plus de 18 ans de sa vie. Il y avait trouvé refuge en 1988, après un long périple à la recherche de sa mère, et quelque part, de lui-même, rapporte Le Parisien..
Son histoire touchante et incroyable a inspiré un des films les plus connus de Steven Spielberg : « Le Terminal », tourné à l'aéroport de Mirabel. Son rôle y est interprété par Tom Hanks.
Né en 1945 à Masjed Soleiman, dans la province iranienne du Khouzistan, son père était décédé et sa mère n’a jamais voulu le reconnaître, rapporte le journal Le parisien. Quand Mehran Karimi Nasseri décide de partir à la recherche de cette dernière dans les années 1980, il se fait retirer son passeport par les autorités iraniennes. La Grande-Bretagne lui refuse la citoyenneté. Partout où il va, il se fait expulser par les autorités, faute de pouvoir présenter des papiers. Il s’installe à Roissy.
Même après avoir obtenu le statut de réfugié en France en 1999 et un titre de séjour, il refuse de quitter l’aéroport. À Roissy, il était devenu un familier du personnel de l’aéroport et une figure emblématique, faisant l’objet de nombreux reportages de télévisions et radios, françaises et étrangères, avant la consécration cinématographique.
(Avec Le Parisien)
Son histoire touchante et incroyable a inspiré un des films les plus connus de Steven Spielberg : « Le Terminal », tourné à l'aéroport de Mirabel. Son rôle y est interprété par Tom Hanks.
Né en 1945 à Masjed Soleiman, dans la province iranienne du Khouzistan, son père était décédé et sa mère n’a jamais voulu le reconnaître, rapporte le journal Le parisien. Quand Mehran Karimi Nasseri décide de partir à la recherche de cette dernière dans les années 1980, il se fait retirer son passeport par les autorités iraniennes. La Grande-Bretagne lui refuse la citoyenneté. Partout où il va, il se fait expulser par les autorités, faute de pouvoir présenter des papiers. Il s’installe à Roissy.
Même après avoir obtenu le statut de réfugié en France en 1999 et un titre de séjour, il refuse de quitter l’aéroport. À Roissy, il était devenu un familier du personnel de l’aéroport et une figure emblématique, faisant l’objet de nombreux reportages de télévisions et radios, françaises et étrangères, avant la consécration cinématographique.
(Avec Le Parisien)