L'Organisation météorologique mondiale (OMM) a publié jeudi dernier un bilan de l’année écoulée dans lequel elle confirme que " la température moyenne à la surface du globe en 2005 présente actuellement une anomalie positive de 0,48°C par rapport à la normale calculée pour la période 1961-1990 (14°C) ".
« A ce jour, 2005 se place au deuxième rang des années les plus chaudes depuis 1861, date du début des relevés, et il est probable que cette année fera partie des quatre années les plus chaudes qu'ait connues l'humanité depuis cette date » ajoute l’OMM qui rappelle aussi que « en 2005, la saison des ouragans dans l'Atlantique a été marquée par un nombre record de tempêtes tropicales ayant reçu un nom -- 26 au total -- qui ont semé la dévastation en Amérique centrale, dans les Caraïbes et aux Etats-Unis ».
D’après l’OMM, la tendance relevée depuis 1995 à « une augmentation sensible du nombre annuel de tempêtes tropicales dans le bassin de l'Atlantique », reflèterait « une situation cyclique ».
L’Administration atmosphérique et océanique nationale (NOAA) et l’équipe de spécialistes américains du professeur William Gray adhèrent aussi à cette explication d’une « phase positive de l’oscillation multi décennale de l’Atlantique ». Selon eux, la tendance à une période active de l’activité cyclonique intense dans l’Atlantique va durer encore 15 à 20 ans. En matière d’ouragans, le réchauffement de la planète bénéficierait encore de la présomption d’innocence.
Source ECaraïbe
« A ce jour, 2005 se place au deuxième rang des années les plus chaudes depuis 1861, date du début des relevés, et il est probable que cette année fera partie des quatre années les plus chaudes qu'ait connues l'humanité depuis cette date » ajoute l’OMM qui rappelle aussi que « en 2005, la saison des ouragans dans l'Atlantique a été marquée par un nombre record de tempêtes tropicales ayant reçu un nom -- 26 au total -- qui ont semé la dévastation en Amérique centrale, dans les Caraïbes et aux Etats-Unis ».
D’après l’OMM, la tendance relevée depuis 1995 à « une augmentation sensible du nombre annuel de tempêtes tropicales dans le bassin de l'Atlantique », reflèterait « une situation cyclique ».
L’Administration atmosphérique et océanique nationale (NOAA) et l’équipe de spécialistes américains du professeur William Gray adhèrent aussi à cette explication d’une « phase positive de l’oscillation multi décennale de l’Atlantique ». Selon eux, la tendance à une période active de l’activité cyclonique intense dans l’Atlantique va durer encore 15 à 20 ans. En matière d’ouragans, le réchauffement de la planète bénéficierait encore de la présomption d’innocence.
Source ECaraïbe