L'arrivée de Vacances Sunwing et de Vacances Maestro dans le marché québécois ne semble pas trop inquiéter Transat A.T. qui, selon la Presse Canadienne, misera sur ses produits et sur les relations qu'elle a établies avec les agences de voyages au fil des ans, pour affronter cette nouvelle concurrence.
"Comme vous le savez, nous sommes dans ce marché depuis 29 ans. Nous avons eu beaucoup de concurrents. Il n'y a rien de neuf pour nous là-dedans", faisait valoir Jean-Marc Eustache, hier en conférence téléphonique avec les analystes.
Transat A.T. est le deuxième plus vieux voyagiste du Québec, après son partenaire Tours Mont-Royal. "Nous avons vu les autres disparaître, partir et revenir", observe Jean-Marc Eustache qui voit dans l'arrivée de Sunwing au Québec une possible réaction aux progrès réalisés par Transat dans d'autres provinces, dont l'Ontario. "On peut se poser la question", a-t-il confié.
Même si elle est optimiste, la société reconnaît toutefois que la multiplication des voyagistes risque de réduire ses marges bénéficiaires sur certains voyages pendant un certain temps, rapporte la Presse Canadienne. Transat A.T. doit déjà composer avec ce phénomène dans d'autres marchés, au Canada et en Europe.
Au troisième trimestre, l'intensification de la concurrence a fait baisser les marges bénéficiaires sur certains forfaits de 9,3 pour cent.
Dans une note de recherche, émise au lendemain du dévoilement par Transat de résultats satisfaisants au troisième trimestre 2006, la firme Versant Partners a indiqué qu'elle considérait Transat A.T. comme une société bien gérée, possédant une bonne stratégie à long terme et des perspectives intéressantes.
(avec la Presse Canadienne)
"Comme vous le savez, nous sommes dans ce marché depuis 29 ans. Nous avons eu beaucoup de concurrents. Il n'y a rien de neuf pour nous là-dedans", faisait valoir Jean-Marc Eustache, hier en conférence téléphonique avec les analystes.
Transat A.T. est le deuxième plus vieux voyagiste du Québec, après son partenaire Tours Mont-Royal. "Nous avons vu les autres disparaître, partir et revenir", observe Jean-Marc Eustache qui voit dans l'arrivée de Sunwing au Québec une possible réaction aux progrès réalisés par Transat dans d'autres provinces, dont l'Ontario. "On peut se poser la question", a-t-il confié.
Même si elle est optimiste, la société reconnaît toutefois que la multiplication des voyagistes risque de réduire ses marges bénéficiaires sur certains voyages pendant un certain temps, rapporte la Presse Canadienne. Transat A.T. doit déjà composer avec ce phénomène dans d'autres marchés, au Canada et en Europe.
Au troisième trimestre, l'intensification de la concurrence a fait baisser les marges bénéficiaires sur certains forfaits de 9,3 pour cent.
Dans une note de recherche, émise au lendemain du dévoilement par Transat de résultats satisfaisants au troisième trimestre 2006, la firme Versant Partners a indiqué qu'elle considérait Transat A.T. comme une société bien gérée, possédant une bonne stratégie à long terme et des perspectives intéressantes.
(avec la Presse Canadienne)