Alors que le décompte officiel des victimes d'origine occidentale se chiffre encore dans les dizaines de morts par pays, plus personne ne se fait d'illusion quant à l'ampleur des bilans définitifs.
En Europe, pour les victimes de la Thailande, les estimations des Gouvernements font état de centaines de morts, voire de milliers de morts comme c'est le cas pour la Scandinavie seulement. Les cadavres que la mer continue de rejeter et ceux qui sont exposés depuis 5 jours à des températures de plus de 30 degrés, ne sont plus identifiables que par les comparaisons d'ADN. Un processus qui peut prendre des semaines, voire des mois.
Un nombre indéterminé de cadavres de touristes occidentaux ont déjà été enterrés en fosses communes ou incinérés à la demande des autorités thailandaises pour éviter les risques d'épidémie. Des milliers de corps de touristes sont en attente d'identification.
Le Canada a confirmé jusqu'ici 4 décés mais combien de victimes canadiennes et québécoises faut il craindre ? On ne le saura peut être jamais .
Selon le Globe And Mail, en date d'hier, 265 Canadiens avaient été déclarés vivant, mais personne ne sait combien de canadiens étaient dans la région au monent du drame. Des personnes déclarées manquantes par les rescapés, une seule avait été retrouvée vivante en date d'hier.
Plus de 130,000 Canadiens se rendent en Thailande à chaque année, selon le Globe And Mail et la région de Phuket est particulièrement prisée dans le temps des fêtes. Si 1% seulement de ces visiteurs étaient sur la plage au moment où les vagues meutrières ont déferlé, cela représenterait 1300 personnes, soulève le Globe and Mail.
En Europe, pour les victimes de la Thailande, les estimations des Gouvernements font état de centaines de morts, voire de milliers de morts comme c'est le cas pour la Scandinavie seulement. Les cadavres que la mer continue de rejeter et ceux qui sont exposés depuis 5 jours à des températures de plus de 30 degrés, ne sont plus identifiables que par les comparaisons d'ADN. Un processus qui peut prendre des semaines, voire des mois.
Un nombre indéterminé de cadavres de touristes occidentaux ont déjà été enterrés en fosses communes ou incinérés à la demande des autorités thailandaises pour éviter les risques d'épidémie. Des milliers de corps de touristes sont en attente d'identification.
Le Canada a confirmé jusqu'ici 4 décés mais combien de victimes canadiennes et québécoises faut il craindre ? On ne le saura peut être jamais .
Selon le Globe And Mail, en date d'hier, 265 Canadiens avaient été déclarés vivant, mais personne ne sait combien de canadiens étaient dans la région au monent du drame. Des personnes déclarées manquantes par les rescapés, une seule avait été retrouvée vivante en date d'hier.
Plus de 130,000 Canadiens se rendent en Thailande à chaque année, selon le Globe And Mail et la région de Phuket est particulièrement prisée dans le temps des fêtes. Si 1% seulement de ces visiteurs étaient sur la plage au moment où les vagues meutrières ont déferlé, cela représenterait 1300 personnes, soulève le Globe and Mail.