Communiqué de la Fédération des Chambres de commerce du Québec
La Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) a exprimé ses inquiétudes quant aux mesures gouvernementales en transport aérien régional dans une lettre transmise au ministre des Transports, François Bonnardel. La FCCQ lui demande notamment de rendre tous les vols interrégionaux éligibles au tarif plafonné à 500 $ le billet, plutôt que seulement ceux qui relient les régions aux grands centres, et de mettre en place un comité de suivi du Programme d'accès aérien aux régions (PAAR). La lettre peut être consultée ici.
« La FCCQ avait accueilli positivement l'annonce du Plan québécois de transport aérien régional en avril dernier, mais nos membres ont depuis noté plusieurs éléments qui nuisent au bon fonctionnement du Programme d'accès aérien aux régions qui en découle. À commencer par l'offre de billets d'avion à prix maximal déterminé, les fameux « billets à 500 $ maximum », qui présentent une problématique importante. Pour en profiter, il faut obligatoirement voyager «en provenance» ou «à destination» des aéroports de Montréal, Saint-Hubert ou Québec. Pour nous, cette restriction limite les déplacements interrégionaux et réduit la mobilité des personnes. Nous recommandons au gouvernement de retirer l'obligation des passages dans les aéroports commerciaux de la Communauté métropolitaine de Montréal et de Québec, et que ce soit ouvert à l'ensemble des liaisons aériennes régionales commerciales dans nos régions québécoises », a affirmé Charles Milliard, président-directeur général de la FCCQ.
Un comité de suivi doit être mis en place
« Pour la FCCQ, l'accès au transport aérien régional est primordial afin d'assurer la vitalité de nos régions et favoriser leur rayonnement économique. Nous croyons qu'il est primordial pour les régions éloignées d'avoir accès à une offre de transport aérien fiable et abordable pour l'ensemble des déplacements interrégionaux. Les commentaires exprimés par les passagers, incluant les représentants des chambres de commerce locales, des aéroports, des transporteurs aériens et de la communauté d'affaires en général, doivent être pris en compte afin de peaufiner le programme. L'incertitude actuelle sur l'assiduité des vols est un enjeu supplémentaire qui mériterait d'être abordé dans le cadre d'un forum régulier entre le ministre, son ministère et les intervenants et usagers sur le terrain. La FCCQ demande donc au gouvernement de mettre sur pied un comité de suivi des impacts et des retombées du PAAR », a conclu M. Milliard.
« La FCCQ avait accueilli positivement l'annonce du Plan québécois de transport aérien régional en avril dernier, mais nos membres ont depuis noté plusieurs éléments qui nuisent au bon fonctionnement du Programme d'accès aérien aux régions qui en découle. À commencer par l'offre de billets d'avion à prix maximal déterminé, les fameux « billets à 500 $ maximum », qui présentent une problématique importante. Pour en profiter, il faut obligatoirement voyager «en provenance» ou «à destination» des aéroports de Montréal, Saint-Hubert ou Québec. Pour nous, cette restriction limite les déplacements interrégionaux et réduit la mobilité des personnes. Nous recommandons au gouvernement de retirer l'obligation des passages dans les aéroports commerciaux de la Communauté métropolitaine de Montréal et de Québec, et que ce soit ouvert à l'ensemble des liaisons aériennes régionales commerciales dans nos régions québécoises », a affirmé Charles Milliard, président-directeur général de la FCCQ.
Un comité de suivi doit être mis en place
« Pour la FCCQ, l'accès au transport aérien régional est primordial afin d'assurer la vitalité de nos régions et favoriser leur rayonnement économique. Nous croyons qu'il est primordial pour les régions éloignées d'avoir accès à une offre de transport aérien fiable et abordable pour l'ensemble des déplacements interrégionaux. Les commentaires exprimés par les passagers, incluant les représentants des chambres de commerce locales, des aéroports, des transporteurs aériens et de la communauté d'affaires en général, doivent être pris en compte afin de peaufiner le programme. L'incertitude actuelle sur l'assiduité des vols est un enjeu supplémentaire qui mériterait d'être abordé dans le cadre d'un forum régulier entre le ministre, son ministère et les intervenants et usagers sur le terrain. La FCCQ demande donc au gouvernement de mettre sur pied un comité de suivi des impacts et des retombées du PAAR », a conclu M. Milliard.