Communiqué de l'AAVQ
Robert Turcotte (archives)
L’Association des agents de voyages du Québec (AAVQ) est fière d’accueillir Robert Turcotte en tant que nouveau membre de son conseil d’administration. « Avec plus de 10 ans d’expérience dans les associations dans le domaine du voyages, M.
Turcotte apporte avec enthousiasme des compétences recherchées au sein de notre conseil. » commente Jean Collette, président du conseil de l’AAVQ. « De plus, étant donné que Robert siège déjà au comité consultatif des agents de voyages de l’Office de la protection du consommateur du Québec, ceci facilitera d’avantage les échanges entre l’Office et l’AAVQ nous permettant de faire avancer certains de nos dossiers plus rapidement. »
L’AAVQ tient à rappeler que malgré plusieurs initiatives québécoises de décentralisation à l’ACTA au cours des dernières années, de plus en plus d’individus trouvent que les intérêts des agences québécoises sont mieux représentées par l’AAVQ.
« C’est quand même intriguant de constater que les trois derniers présidents d’affilés qui représentaient le conseil régional du Québec de l’ACTA travaillent maintenant de façon bénévole au sein de l’AAVQ. »
L’AAVQ tiendra son Assemblée Générale Annuelle bientôt. Entre-temps, M. Turcotte siégera en tant qu’administrateur nommé par le conseil, les règlements permettant au conseil d’administration de nommer jusqu’à trois administrateur non élu.
Présentement, en plus de M. Turcotte, l’avocat Me Daniel Guay et Tony Santelli du Collège April-Fortier siègent au conseil en plus des administrateurs élus.
À propos de l’AAVQ
L’Association des Agents de Voyages du Québec a comme mission d’assurer une représentation équitable à l’ensemble des quelques 800 agents de voyages du Québec générant plus de $5G en retombées pour le Québec, de promouvoir et défendre les intérêts de ses membres tant à l’intérieur de l’industrie qu’auprès des autorités gouvernementales ainsi que d’améliorer le professionnalisme de ses membres afin de satisfaire les attentes des consommateurs.
Turcotte apporte avec enthousiasme des compétences recherchées au sein de notre conseil. » commente Jean Collette, président du conseil de l’AAVQ. « De plus, étant donné que Robert siège déjà au comité consultatif des agents de voyages de l’Office de la protection du consommateur du Québec, ceci facilitera d’avantage les échanges entre l’Office et l’AAVQ nous permettant de faire avancer certains de nos dossiers plus rapidement. »
L’AAVQ tient à rappeler que malgré plusieurs initiatives québécoises de décentralisation à l’ACTA au cours des dernières années, de plus en plus d’individus trouvent que les intérêts des agences québécoises sont mieux représentées par l’AAVQ.
« C’est quand même intriguant de constater que les trois derniers présidents d’affilés qui représentaient le conseil régional du Québec de l’ACTA travaillent maintenant de façon bénévole au sein de l’AAVQ. »
L’AAVQ tiendra son Assemblée Générale Annuelle bientôt. Entre-temps, M. Turcotte siégera en tant qu’administrateur nommé par le conseil, les règlements permettant au conseil d’administration de nommer jusqu’à trois administrateur non élu.
Présentement, en plus de M. Turcotte, l’avocat Me Daniel Guay et Tony Santelli du Collège April-Fortier siègent au conseil en plus des administrateurs élus.
À propos de l’AAVQ
L’Association des Agents de Voyages du Québec a comme mission d’assurer une représentation équitable à l’ensemble des quelques 800 agents de voyages du Québec générant plus de $5G en retombées pour le Québec, de promouvoir et défendre les intérêts de ses membres tant à l’intérieur de l’industrie qu’auprès des autorités gouvernementales ainsi que d’améliorer le professionnalisme de ses membres afin de satisfaire les attentes des consommateurs.
Lettre de démission de Robert Turcotte
Cher Collègues
Suite à une réflexion profonde et aux événements récent, j‘arrive à la conclusion que j’ai perdu toute mes illusions face à la structure centralisé à Toronto de l’ACTA.
Quoique à l’époque le rapport Pikard & Law semblait être une bonne idée, aujourd’hui mon opinion est que ça ne marche pas, et ne marchera jamais dû à des règlements trop laxistes qui limitent le pouvoir et l’autonomie des régions.
Il est vrai que nous avons toujours des membres au Québec, et que le conseil régional travaille fort pour leurs intérêts. Nous devons cependant nous demander à quoi servent réellement toutes ces cotisations, et quel est le réel service offert par le national outre quelques communiqués vantant l’association plutôt que faire bénéficier ses membres. C’est à se demander ce qui finit dans la cause et s'adresse aux besoins de nos membres, notamment les aider à suivre l’évolution des technologies ou faire valoir les avantages d’utiliser leurs services auprès des consommateurs.
La structure et la permanence en place font en sorte que ni moi, ni mon conseil régional n'avons l’autonomie ou le pouvoir requis pour satisfaire les demandes des membres du Québec. En fait, nous avons plutôt le sentiment de servir de leurre pour donner l’impression que l’on joue un rôle pour une bonne apparence mais la réalité est que l’on peut juste donner notre opinion et espérer que les choses vont changer, ce qui, les années récentes l'ont démontré, n’arrive pas.
On a réussi malgré tout, les membre du conseil régional et moi, à offrir des séminaires de formation et quelques autres activités, mais on aurait tous voulu et aurions pu en faire plus si on avait réussi à conserver une petite partie des cotisations des membres ici même au Québec, ce qui avait pourtant été promis il y a 3 ans maintenant, hélas sans respect de la promesse faite.
Malheureusement, après 15 ans de bénévolat a l’ACTA dont les 3 dernières à la présidence du conseil régional, c’est avec regret que j‘annonce ma démission en tant que président du conseil régional et membre du conseil d’administration d‘ACTA canada effectif immédiatement.
Robert Turcotte
Suite à une réflexion profonde et aux événements récent, j‘arrive à la conclusion que j’ai perdu toute mes illusions face à la structure centralisé à Toronto de l’ACTA.
Quoique à l’époque le rapport Pikard & Law semblait être une bonne idée, aujourd’hui mon opinion est que ça ne marche pas, et ne marchera jamais dû à des règlements trop laxistes qui limitent le pouvoir et l’autonomie des régions.
Il est vrai que nous avons toujours des membres au Québec, et que le conseil régional travaille fort pour leurs intérêts. Nous devons cependant nous demander à quoi servent réellement toutes ces cotisations, et quel est le réel service offert par le national outre quelques communiqués vantant l’association plutôt que faire bénéficier ses membres. C’est à se demander ce qui finit dans la cause et s'adresse aux besoins de nos membres, notamment les aider à suivre l’évolution des technologies ou faire valoir les avantages d’utiliser leurs services auprès des consommateurs.
La structure et la permanence en place font en sorte que ni moi, ni mon conseil régional n'avons l’autonomie ou le pouvoir requis pour satisfaire les demandes des membres du Québec. En fait, nous avons plutôt le sentiment de servir de leurre pour donner l’impression que l’on joue un rôle pour une bonne apparence mais la réalité est que l’on peut juste donner notre opinion et espérer que les choses vont changer, ce qui, les années récentes l'ont démontré, n’arrive pas.
On a réussi malgré tout, les membre du conseil régional et moi, à offrir des séminaires de formation et quelques autres activités, mais on aurait tous voulu et aurions pu en faire plus si on avait réussi à conserver une petite partie des cotisations des membres ici même au Québec, ce qui avait pourtant été promis il y a 3 ans maintenant, hélas sans respect de la promesse faite.
Malheureusement, après 15 ans de bénévolat a l’ACTA dont les 3 dernières à la présidence du conseil régional, c’est avec regret que j‘annonce ma démission en tant que président du conseil régional et membre du conseil d’administration d‘ACTA canada effectif immédiatement.
Robert Turcotte