Sondage : 9% se sont envoyés en l'air dans les airs.

Dans un récent sondage réalisé aux États-Unis par Airlines.ws 9% des voyageurs interrogés affirmaient être membres du "Mile High Club". En clair, ces voyageurs affirment qu'ils et elles ont eu des relations sexuelles en avion, à au moins 1600 mètres (1 mile) d'altitude.

Le magazine ITN, qui rapporte les résultats de ce sondage, précise que 600 personnes y ont répondu et que la marge d'erreur est de l'ordre de 2%.

Les résultats du sondage indiquent par ailleurs qu'il n'y a pratiquement pas de différence entre hommes et femmes, les représentants des deux sexes ayant répondu par l'affirmative dans une proportion égale.

Un équilibre qui n'étonne que par le fait qu'il révèle une plus grande ouverture de la part des femmes quand il est question de parler de leur sexualité, à moins qu'elle ne vérifie une tendance chez les hommes à être moins enclins à exagérer leurs prouesses sexuelles.

Commentant l'étude, les psychologues estiment qu'il n'est facile de comprendre pourquoi les voyages en avion sont à ce point aphrodisiaques. Tout invite aux ébats amoureux. De la vibration constante de l'avion, à la surcharge d'adrénaline causée par la simple excitation de voler et l'impression d'être en danger.

Le premier récit publié concernant des activités éligibles au " Mile High Club" date de 1916. Cette année là, Lawrence Sperry, un "daredevil", acrobate des airs et inventeur du pilote automatique et son élève, Mme Waldo Polk, personnalité en vue de New York, s'écrasèrent dans les eaux de la South Bay.

Les deux complices furent retrouvés entièrement nus par des chasseurs de canards rameutés par la chute de l'avion. Alors qu'ils étaient secourus, Lawrence Sperry expliqua aux chasseurs que le crash les avait "dépouillés" de leurs vêtements.

(Source ITN)