Communiqué de Aéroport de Québec Inc.
Afin de s'assurer du soutien de la population de la région de Québec quant à l'installation d'un centre de prédédouanement à l'Aéroport international Jean-Lesage de Québec (YQB), Aéroport de Québec inc. (AQi) a mandaté la firme de sondage SOM pour mesurer l'adhésion des gens de Québec au projet. Effectué en ligne, du 13 au 21 mai 2015, le sondage met en lumière la réelle volonté des gens de la région de Québec d'obtenir un centre de prédédouanement américain à Québec. Ainsi, la quasi-totalité (95 %) des gens se disent très (62 %) ou assez (33 %) favorables à l'installation d'un centre de prédédouanement américain à l'Aéroport international Jean-Lesage de Québec.
« Les chiffres parlent d'eux-mêmes : avec 95 % des gens en faveur d'une telle initiative, la réceptivité à l'égard du projet est maximale et nous en sommes très heureux », a souligné le président et chef de la direction de Aéroport de Québec inc. (AQi), monsieur Gaëtan Gagné. « Pour nous, le soutien des gens de Québec est primordial, tout comme celui du gouvernement fédéral et de Transports Canada. Grâce à tous ces appuis, YQB sera en mesure de donner suite à un éventuel accord du gouvernement américain pour l'établissement d'un tel centre à Québec. Nous comptons d'ailleurs sur le gouvernement fédéral pour appuyer la candidature de l'aéroport de Québec quant à l'obtention d'un centre de prédédouanement », a ajouté M. Gagné.
Le prédédouanement : des avantages importants pour les passagers
L'installation d'un centre de prédédouanement à YQB permettrait de diminuer considérablement le temps de correspondance en sol américain puisqu'il ne sera plus nécessaire de passer à la douane américaine une fois rendu aux États-Unis. Toutes les procédures seraient effectuées au départ de Québec. Les passagers pourront également bénéficier de la technologie avancée du U.S. Customs and Border Protection (CBP) à YQB, ce qui diminuerait considérablement les files d'attente.
Les passagers n'auraient plus à être fouillés pour monter à bord d'un autre aéronef aux États-Unis. La fouille serait faite à Québec une fois pour toutes.
Plus de liaisons aériennes américaines pourront aussi être offertes et disponibles à partir de YQB du fait que l'aéroport de destination aux États-Unis n'a pas à avoir nécessairement d'installations de contrôle douanier. Ceci ouvre donc la porte à davantage d'aéroports américains qui ne desservent que le marché intérieur américain.
Méthodologie du sondage
Le sondage a été effectué en ligne par la firme SOM, du 13 au 21 mai 2015, auprès d'un échantillon de 328 répondants de la région métropolitaine de Québec. La marge d'erreur maximale pour l'ensemble des répondants est de 6,2 %, 19 fois sur 20.
« Les chiffres parlent d'eux-mêmes : avec 95 % des gens en faveur d'une telle initiative, la réceptivité à l'égard du projet est maximale et nous en sommes très heureux », a souligné le président et chef de la direction de Aéroport de Québec inc. (AQi), monsieur Gaëtan Gagné. « Pour nous, le soutien des gens de Québec est primordial, tout comme celui du gouvernement fédéral et de Transports Canada. Grâce à tous ces appuis, YQB sera en mesure de donner suite à un éventuel accord du gouvernement américain pour l'établissement d'un tel centre à Québec. Nous comptons d'ailleurs sur le gouvernement fédéral pour appuyer la candidature de l'aéroport de Québec quant à l'obtention d'un centre de prédédouanement », a ajouté M. Gagné.
Le prédédouanement : des avantages importants pour les passagers
L'installation d'un centre de prédédouanement à YQB permettrait de diminuer considérablement le temps de correspondance en sol américain puisqu'il ne sera plus nécessaire de passer à la douane américaine une fois rendu aux États-Unis. Toutes les procédures seraient effectuées au départ de Québec. Les passagers pourront également bénéficier de la technologie avancée du U.S. Customs and Border Protection (CBP) à YQB, ce qui diminuerait considérablement les files d'attente.
Les passagers n'auraient plus à être fouillés pour monter à bord d'un autre aéronef aux États-Unis. La fouille serait faite à Québec une fois pour toutes.
Plus de liaisons aériennes américaines pourront aussi être offertes et disponibles à partir de YQB du fait que l'aéroport de destination aux États-Unis n'a pas à avoir nécessairement d'installations de contrôle douanier. Ceci ouvre donc la porte à davantage d'aéroports américains qui ne desservent que le marché intérieur américain.
Méthodologie du sondage
Le sondage a été effectué en ligne par la firme SOM, du 13 au 21 mai 2015, auprès d'un échantillon de 328 répondants de la région métropolitaine de Québec. La marge d'erreur maximale pour l'ensemble des répondants est de 6,2 %, 19 fois sur 20.