Dean Dacko de NewLeaf et Suzanne Christie d'Openjaw.com
Dans une vidéo mise en ligne aujourd'hui, notre consoeur d'openJaw.com, Suzanne Christie, s'entretient avec Dean Dacko, Chief Commercial Officer de NewLeaf Travel Company, cette nouvelle compagnie qui a décollé lundi dernier et se présente comme le premier transporteur aérien canadien à très bas tarifs (ultra low cost).
Rappelons que Newleaf dessert pour l'instant des marchés régionaux domestiques et qu'à l'instar de géants du domaine comme Ryanair en Europe, il opère depuis des aéroports secondaires. Le Québec est absent de ses projets pour l'instant.
Selon M. Dacko le coefficient de remplissage des premiers vols a dépassé les 99% et les indicateurs seraient prometteurs pour l'avenir. Côté destinations, le Sud des Etats-Unis sera au programme cet hiver.
Bien qu'ils ne soient pas dans l'équation pour l'instant, il dit que NewLeaf « aime » les agents de voyages et ne rejette pas l'idée de forger avec eux, le moment venu, des formes de partenariats comme le fait Allegiant aux Etats-Unis.
Avec son modèle d'affaire résolument centré sur le contrôle des coûts, le transporteur entend baisser graduellement ses prix, pour stimuler la demande, explique M. Dacko qui assure au passage que l'entreprise n'est pas née d'un « ego trip » comme auraient pu l'être des initiatives canadiennes du même genre et qui ont échoué pour n'avoir pas suivi à la lettre leur modèle d'affaire. Voir l'entrevue (en anglais)
Rappelons que Newleaf dessert pour l'instant des marchés régionaux domestiques et qu'à l'instar de géants du domaine comme Ryanair en Europe, il opère depuis des aéroports secondaires. Le Québec est absent de ses projets pour l'instant.
Selon M. Dacko le coefficient de remplissage des premiers vols a dépassé les 99% et les indicateurs seraient prometteurs pour l'avenir. Côté destinations, le Sud des Etats-Unis sera au programme cet hiver.
Bien qu'ils ne soient pas dans l'équation pour l'instant, il dit que NewLeaf « aime » les agents de voyages et ne rejette pas l'idée de forger avec eux, le moment venu, des formes de partenariats comme le fait Allegiant aux Etats-Unis.
Avec son modèle d'affaire résolument centré sur le contrôle des coûts, le transporteur entend baisser graduellement ses prix, pour stimuler la demande, explique M. Dacko qui assure au passage que l'entreprise n'est pas née d'un « ego trip » comme auraient pu l'être des initiatives canadiennes du même genre et qui ont échoué pour n'avoir pas suivi à la lettre leur modèle d'affaire. Voir l'entrevue (en anglais)