Un vol d'Air Canada Jazz à destination de Montréal a dû être annulé, samedi soir, à l'aéroport Jean-Lesage de Québec, en raison d'un appel à la bombe.
À la suite d'un appel anonyme fait à la compagnie Air Canada, à Montréal, la Sûreté du Québec a fouillé l'appareil, mais n'a rien trouvé. Le canular a gardé le personnel de l'aéroport sur le qui-vive pendant plusieurs heures.
L'aéroport Jean-Lesage n'en est pas à son premier plaisantin. Depuis le début de l'année, au moins sept personnes ont affirmé, à la blague, aux agents de contrôle, qu'ils avaient une bombe dans leur sac.
Ce genre de farce n'est plus toléré dans les aéroports depuis bon nombre d'années. Affirmer qu'on a une bombe dans ses bagages peut conduire à des accusations de méfait et, dans le pire des cas, entraîner une peine d'emprisonnement.
Une Française de 27 ans l'a appris à ses dépens, plus tôt cette semaine, alors qu'elle s'apprêtait à retourner chez elle. Aux agents de l'aéroport qui manipulaient ses bagages, elle a indiqué que ceux-ci contenaient une bombe. La jeune femme a aussitôt été arrêtée et a dû passer une nuit en prison. Elle a plaidé coupable à une accusation de méfait et a été libérée moyennant un don de 500 $ à un organisme de Québec.
(Source Radio Canada)
À la suite d'un appel anonyme fait à la compagnie Air Canada, à Montréal, la Sûreté du Québec a fouillé l'appareil, mais n'a rien trouvé. Le canular a gardé le personnel de l'aéroport sur le qui-vive pendant plusieurs heures.
L'aéroport Jean-Lesage n'en est pas à son premier plaisantin. Depuis le début de l'année, au moins sept personnes ont affirmé, à la blague, aux agents de contrôle, qu'ils avaient une bombe dans leur sac.
Ce genre de farce n'est plus toléré dans les aéroports depuis bon nombre d'années. Affirmer qu'on a une bombe dans ses bagages peut conduire à des accusations de méfait et, dans le pire des cas, entraîner une peine d'emprisonnement.
Une Française de 27 ans l'a appris à ses dépens, plus tôt cette semaine, alors qu'elle s'apprêtait à retourner chez elle. Aux agents de l'aéroport qui manipulaient ses bagages, elle a indiqué que ceux-ci contenaient une bombe. La jeune femme a aussitôt été arrêtée et a dû passer une nuit en prison. Elle a plaidé coupable à une accusation de méfait et a été libérée moyennant un don de 500 $ à un organisme de Québec.
(Source Radio Canada)