Une agent de bord de 22 ans, Shannon, avait été licenciée il y a 2 ans par la compagnie low cost EasyJet parce qu'elle avait mangé, sans le payer, un sandwich à 6$.
Le sandwich lui avait en fait été donné par son supérieur car les repas destinés à l'équipage contenaient des noix auxquelles elle est allergique. Elle croyait que son supérieur qui, lui-même, s'était pris un grill cheese, avait payé pour le tout mais ça n'avait pas été le cas.
Une autre agent de bord qui avait assisté à la scène avait signalé le ''larcin'' aux responsables de la compagnie. Conséquence : Shannon et son supérieur furent mis à la porte pour vol et comportement inacceptable ! Le temps a passé et les juges viennent de donner raison à Shannon car, ont-ils indiqué, EasyJet n’a pas tenu d’inventaire de ses repas et ne peut donc prouver que le sandwich leur appartenait bien : « Shannon n’a pas pris elle-même le sandwich et n’est pas responsable du paiement de celui-ci », expliquait-on au tribunal. Le licenciement a donc été considéré comme abusif.
Finalement, les deux employés ont trouvé un arrangement avec la compagnie aérienne mais n'ont pas souhaité réintégrer leur poste.
Le sandwich lui avait en fait été donné par son supérieur car les repas destinés à l'équipage contenaient des noix auxquelles elle est allergique. Elle croyait que son supérieur qui, lui-même, s'était pris un grill cheese, avait payé pour le tout mais ça n'avait pas été le cas.
Une autre agent de bord qui avait assisté à la scène avait signalé le ''larcin'' aux responsables de la compagnie. Conséquence : Shannon et son supérieur furent mis à la porte pour vol et comportement inacceptable ! Le temps a passé et les juges viennent de donner raison à Shannon car, ont-ils indiqué, EasyJet n’a pas tenu d’inventaire de ses repas et ne peut donc prouver que le sandwich leur appartenait bien : « Shannon n’a pas pris elle-même le sandwich et n’est pas responsable du paiement de celui-ci », expliquait-on au tribunal. Le licenciement a donc été considéré comme abusif.
Finalement, les deux employés ont trouvé un arrangement avec la compagnie aérienne mais n'ont pas souhaité réintégrer leur poste.