Vacances Maestro annonçait hier qu'elle exploiterait une liaison Québec - Moncton - Paris à compter du 11 mai, consolidant ainsi sa place sur le marché . C'est là un des éléments d'une première saison Europe dont on connaîtra tous les détails prochainement mais dont on sait déjà qu'elle comprend des vols sur Paris, Bruxelles et Nice. " Nous dévoilerons notre programmation Europe sur une base officielle d'ici une quinzaine de jours" disait hier Michel Mordret, PDG du grossiste, rejoint au téléphone.
Pour l'heure, Vacances Maestro annonce qu'elle a transporté, à ce jour plus de 11 000 voyageurs vers le Sud depuis le début de ses opérations le 18 décembre dernier. Un résultat obtenu en dépit d'une certaine mollesse du marché. " Tout le monde vous dira que la demande pour le sud est faible en ce moment, il suffit de regarder dans les sites des agences en ligne pour constater que les prix sont au plancher. Je ne vous dirai pas que nos prix ne sont pas bas, mais on sent maintenant une reprise de la demande," fait remarquer Michel Mordret.
Le voyagiste a dû ajuster le tir, notamment en consolidant certains vols sur Cuba, mais, pour Michel Mordret, cela n'a rien d'inquiétant. " Ça fait longtemps que je suis dans le métier et il y a toujours eu de la consolidation à un moment ou un autre chez tous les voyagistes où j'ai oeuvré, cela fait partie de la conduite normale des affaires. Par ailleurs ajoute-t-il, nous avons un bon taux de satisfaction de la clientèle."
Maestro prévoit opérer des vols vers le Sud cet été, notamment sur Samana en République Dominicaine.
Comme pour tout nouveau joueur qui arrive dans un marché très concurrentiel, la machine à rumeur s'empare vite des moindres petits écarts susceptibles de révéler un malaise. Il suffit de regarder en arrière pour comprendre que l'industrie est en droit d'être sur ses gardes.
Vacances Maestro n'échappe pas à la règle et son PDG prend cela avec un grain de sel teinté d'un soupçon d'agacement : "La meilleure que j'ai entendue à notre propos, raconte Michel mordret, c'est que nous ne payions pas nos droits d'atterrissage à l'aéroport de Québec et que nous étions donc au bout de notre souffle. C'est vrai, dit-il, nous ne payons pas nos droits d'atterrissage à Québec, et c'est normal puisque ces frais incombent à notre transporteur Skyservice !"
À ce propos, le partenariat avec Skyservice se passerait plutôt bien. "Toutes les activités de Vacances Maestro vont se dérouler dans le cadre du prolongement et du renforcement de son entente de partenariat à long terme avec Skyservice, qui passe de de 5 à 10 ans," annonce le voyagiste.
Rappelons que Maestro dessert sa clientèle exclusivement à partir de l’Aéroport International Jean Lesage de Québec.
Pour l'heure, Vacances Maestro annonce qu'elle a transporté, à ce jour plus de 11 000 voyageurs vers le Sud depuis le début de ses opérations le 18 décembre dernier. Un résultat obtenu en dépit d'une certaine mollesse du marché. " Tout le monde vous dira que la demande pour le sud est faible en ce moment, il suffit de regarder dans les sites des agences en ligne pour constater que les prix sont au plancher. Je ne vous dirai pas que nos prix ne sont pas bas, mais on sent maintenant une reprise de la demande," fait remarquer Michel Mordret.
Le voyagiste a dû ajuster le tir, notamment en consolidant certains vols sur Cuba, mais, pour Michel Mordret, cela n'a rien d'inquiétant. " Ça fait longtemps que je suis dans le métier et il y a toujours eu de la consolidation à un moment ou un autre chez tous les voyagistes où j'ai oeuvré, cela fait partie de la conduite normale des affaires. Par ailleurs ajoute-t-il, nous avons un bon taux de satisfaction de la clientèle."
Maestro prévoit opérer des vols vers le Sud cet été, notamment sur Samana en République Dominicaine.
Comme pour tout nouveau joueur qui arrive dans un marché très concurrentiel, la machine à rumeur s'empare vite des moindres petits écarts susceptibles de révéler un malaise. Il suffit de regarder en arrière pour comprendre que l'industrie est en droit d'être sur ses gardes.
Vacances Maestro n'échappe pas à la règle et son PDG prend cela avec un grain de sel teinté d'un soupçon d'agacement : "La meilleure que j'ai entendue à notre propos, raconte Michel mordret, c'est que nous ne payions pas nos droits d'atterrissage à l'aéroport de Québec et que nous étions donc au bout de notre souffle. C'est vrai, dit-il, nous ne payons pas nos droits d'atterrissage à Québec, et c'est normal puisque ces frais incombent à notre transporteur Skyservice !"
À ce propos, le partenariat avec Skyservice se passerait plutôt bien. "Toutes les activités de Vacances Maestro vont se dérouler dans le cadre du prolongement et du renforcement de son entente de partenariat à long terme avec Skyservice, qui passe de de 5 à 10 ans," annonce le voyagiste.
Rappelons que Maestro dessert sa clientèle exclusivement à partir de l’Aéroport International Jean Lesage de Québec.