Venise pourra dès l'été prochain faire payer un billet d'entrée à tous ses visiteurs, soit, selon la saison, une taxe de 2,5 à 10 euros .
Cette mesure a été introduite dans la loi de finances qui vient d'être votée par le parlement italien et elle est destinée à limiter le tourisme de masse, accusé d'asphyxier la ville. Elle s'appliquera à tous les visiteurs, qu'ils passent ou non la nuit à Venise, ce qui représente environ 30 millions de personnes chaque année.
"Nous voulons traiter les touristes avec respect... Mais nous voulons aussi le respect pour notre ville !" commente Paola Mar, responsable du tourisme à Venise.
La mesure vise d'abord les touristes d'un jour qui ne paient pas la taxe de séjour, due par personne et par nuit, et réglée aux hôteliers ou aux propriétaires de logements loués. Parmi eux figurent notamment les clients des compagnies de croisières, dont quelque 600 navires font escale annuellement dans la Cité des Doges. Les compagnies aériennes et les autocaristes pourront aussi répercuter la nouvelle taxe sur leurs billets.
"Nous étudierons une réglementation équilibrée et partagée qui préserve tous ceux qui étudient et travaillent sur notre territoire", a déclaré sur Twitter le maire de Venise Luigi Brugnaro, cité par Novethic.fr.
La taxe pourrait rapporter jusqu'à 50 millions d'euros par an à Venise estime-t-on.
Cette mesure a été introduite dans la loi de finances qui vient d'être votée par le parlement italien et elle est destinée à limiter le tourisme de masse, accusé d'asphyxier la ville. Elle s'appliquera à tous les visiteurs, qu'ils passent ou non la nuit à Venise, ce qui représente environ 30 millions de personnes chaque année.
"Nous voulons traiter les touristes avec respect... Mais nous voulons aussi le respect pour notre ville !" commente Paola Mar, responsable du tourisme à Venise.
La mesure vise d'abord les touristes d'un jour qui ne paient pas la taxe de séjour, due par personne et par nuit, et réglée aux hôteliers ou aux propriétaires de logements loués. Parmi eux figurent notamment les clients des compagnies de croisières, dont quelque 600 navires font escale annuellement dans la Cité des Doges. Les compagnies aériennes et les autocaristes pourront aussi répercuter la nouvelle taxe sur leurs billets.
"Nous étudierons une réglementation équilibrée et partagée qui préserve tous ceux qui étudient et travaillent sur notre territoire", a déclaré sur Twitter le maire de Venise Luigi Brugnaro, cité par Novethic.fr.
La taxe pourrait rapporter jusqu'à 50 millions d'euros par an à Venise estime-t-on.