Gregg Saretsky, PDG de Westjet
Le PDG de Westjet, Gregg Saretsky, a admis que l'introduction au printemps dernier d'un service premium ciblant les voyageurs d'affaires aurait pu mieux se passer, rapporte la CBC . Mais selon lui, les difficultés rencontrées auront été aplanies à temps pour le lancement officiel du service dans quelques jours.
'' Ce n'était pas beau à voir '' a-t-il concédé aux analystes dans le cadre d'une conférence où se discutaient les résultats trimestriels du transporteur. '' Nous présentons nos excuses à nos invités et à nos agents de bord, mais nous aurons réglé les problèmes d'ici le lancement officiel du 17 août.''
Au printemps, Westjet avait introduit dans la plus grande discrétion trois classes de tarif: Econo-Flex et Plus. Cette dernière, PLUS, offre notamment comme avantage, l'accès à des sièges plus spacieux situé à l'avant de l'appareil. Mais comme peu de gens en avaient entendu parler, il y a eu des situations où, sur les appareils reconfigurés, les passagers s'asseyaient dans ces sièges dédiés au premium sans savoir qu'ils étaient supposés de payer pour ce privilège.
''Ils ont vu qu'il y avait là des sièges vides et se sont dit qu'ils s'y installeraient pour profiter du confort additionnel '', a expliqué Gregg Saretsky . " Et cela a placé nos agents de bord dans la situation très inconfortables et délicate d'avoir à essayer de les faire se déplacer ou de leur faire payer un supplément à bord de l'avion ''.
Une grosse erreur, a-t-il expliqué, c'est de ne pas avoir démarqué assez clairement les rangées '' PLUS " avec, par exemple, une couleur de siège différente.
" Pour l'invité mal informé, la section '' PLUS '' ressemblait aux autres sections de l'appareil, à moins qu'il voyage avec un tape à mesurer et qu'il mesure l'empattement des sièges'' a-t-il ajouté, rappelant que ces sections de cabine seront identifiées plus clairement d'ici au lancement officiel.
Pour le reste de 2013, Westjet s'attend à ce que ses nouvelles offres lui rapporteront de 20 à 30 millions $. Quand les services seront entièrement implantés, ces chiffres devraient grimper à 50 à 80 millions $ par année.
(Avec CBC)
'' Ce n'était pas beau à voir '' a-t-il concédé aux analystes dans le cadre d'une conférence où se discutaient les résultats trimestriels du transporteur. '' Nous présentons nos excuses à nos invités et à nos agents de bord, mais nous aurons réglé les problèmes d'ici le lancement officiel du 17 août.''
Au printemps, Westjet avait introduit dans la plus grande discrétion trois classes de tarif: Econo-Flex et Plus. Cette dernière, PLUS, offre notamment comme avantage, l'accès à des sièges plus spacieux situé à l'avant de l'appareil. Mais comme peu de gens en avaient entendu parler, il y a eu des situations où, sur les appareils reconfigurés, les passagers s'asseyaient dans ces sièges dédiés au premium sans savoir qu'ils étaient supposés de payer pour ce privilège.
''Ils ont vu qu'il y avait là des sièges vides et se sont dit qu'ils s'y installeraient pour profiter du confort additionnel '', a expliqué Gregg Saretsky . " Et cela a placé nos agents de bord dans la situation très inconfortables et délicate d'avoir à essayer de les faire se déplacer ou de leur faire payer un supplément à bord de l'avion ''.
Une grosse erreur, a-t-il expliqué, c'est de ne pas avoir démarqué assez clairement les rangées '' PLUS " avec, par exemple, une couleur de siège différente.
" Pour l'invité mal informé, la section '' PLUS '' ressemblait aux autres sections de l'appareil, à moins qu'il voyage avec un tape à mesurer et qu'il mesure l'empattement des sièges'' a-t-il ajouté, rappelant que ces sections de cabine seront identifiées plus clairement d'ici au lancement officiel.
Pour le reste de 2013, Westjet s'attend à ce que ses nouvelles offres lui rapporteront de 20 à 30 millions $. Quand les services seront entièrement implantés, ces chiffres devraient grimper à 50 à 80 millions $ par année.
(Avec CBC)