Bruce Bishins Président et CEO de CSTAR
Bruce Bishins , PDG de CSTAR a fait parvenir une lettre de plainte formelle à l'IATA concernant les problèmes rencontrés par les agents de voyages relativement au "Agency Debit Memos" (ADM) et au service BSP Link. Cette plainte se joint à celles d'autres organisations à travers le monde, alors que la 29 eme conférence de la " IATA Passenger Agency Conference" est à la veille d'ouvrir à Genève. La plainte de CSTAR reprend en détail le traitement " brouillon et erroné " que réserve l'IATA aux transactions effectuées par les agents de voyages par le biais du BSP link.
CSTAR déplore également les difficultés et le manque d'assistance auxquels sont confrontés les agents de voyages lorsqu'ils tentent d'obtenir de BSP CANADA les rectifications nécessaires. CSTAR indique qu'elle a pris la décision de déposer une plainte formelle, après que 700 courriels lui soient parvenus en réponse à une enquête qu'elle a mené sur les problèmes de BSP links.
En tête de liste des récriminations des agents de voyages, ont retrouve l'abus fait par certains transporteurs du "Agency Debit Memo" (ADM). Selon CSTAR, des transporteurs "ignorent" les contentieux en matière d'ADM, soumettent le même ADM à plusieurs repises, émettent des ADM pour des raisons incorrectes ou inappropriées, émettent des ADM "passés date" et puis déduisent sommairement les fonds des comptes en fiducie des agences.
CSTAR signale qu'elle a fait des représentations auprès de la Canadian Payment Association (CPA) qui règlemente les banques au Canada, au sujet des débits pré-autorisés (PAD). Selon CSTAR, il semble manquer au débits de l'IATA dans les comptes d'agences, des éléments comme la notification et le consentement requis pour lui permettre de déduire des montants que les agences n'ont pas autorisés. Selon les règlements de la PAC, les détenteurs de comptes peuvent réclamer auprès de leur institution financière locale la révocation de PAD qui n'ont pas été autorisés.
CSTAR a donné 30 jours à l'IATA pour la rencontrer afin de résoudre les problèmes de BSP Link et pour tomber d'accord sur un protocole pour le traitement futur des PAD par BSP link.
"Nous n'avons pas envie d'interrompre l'envois de fonds vers les compagnies aériennes qui utilisent BSPLink correctement et en accord avec la règlementation canadienne en matière de banques. Il y a beaucoup de rendement à aller chercher autant pour les agences que pour les transporteurs à partir d'une utilisation raisonnable et correcte de BSPLink. Cependant, nous ne pouvons permettre que les comptes en fiducie des agences soient détroussés par les 10% de transporteurs qui abusent du système et se servent du BSPLink comme d'une carte de guichet. Nous ne le tolèreront pas plus longtemps ," déclarait Bruce Bishins.
CSTAR déplore également les difficultés et le manque d'assistance auxquels sont confrontés les agents de voyages lorsqu'ils tentent d'obtenir de BSP CANADA les rectifications nécessaires. CSTAR indique qu'elle a pris la décision de déposer une plainte formelle, après que 700 courriels lui soient parvenus en réponse à une enquête qu'elle a mené sur les problèmes de BSP links.
En tête de liste des récriminations des agents de voyages, ont retrouve l'abus fait par certains transporteurs du "Agency Debit Memo" (ADM). Selon CSTAR, des transporteurs "ignorent" les contentieux en matière d'ADM, soumettent le même ADM à plusieurs repises, émettent des ADM pour des raisons incorrectes ou inappropriées, émettent des ADM "passés date" et puis déduisent sommairement les fonds des comptes en fiducie des agences.
CSTAR signale qu'elle a fait des représentations auprès de la Canadian Payment Association (CPA) qui règlemente les banques au Canada, au sujet des débits pré-autorisés (PAD). Selon CSTAR, il semble manquer au débits de l'IATA dans les comptes d'agences, des éléments comme la notification et le consentement requis pour lui permettre de déduire des montants que les agences n'ont pas autorisés. Selon les règlements de la PAC, les détenteurs de comptes peuvent réclamer auprès de leur institution financière locale la révocation de PAD qui n'ont pas été autorisés.
CSTAR a donné 30 jours à l'IATA pour la rencontrer afin de résoudre les problèmes de BSP Link et pour tomber d'accord sur un protocole pour le traitement futur des PAD par BSP link.
"Nous n'avons pas envie d'interrompre l'envois de fonds vers les compagnies aériennes qui utilisent BSPLink correctement et en accord avec la règlementation canadienne en matière de banques. Il y a beaucoup de rendement à aller chercher autant pour les agences que pour les transporteurs à partir d'une utilisation raisonnable et correcte de BSPLink. Cependant, nous ne pouvons permettre que les comptes en fiducie des agences soient détroussés par les 10% de transporteurs qui abusent du système et se servent du BSPLink comme d'une carte de guichet. Nous ne le tolèreront pas plus longtemps ," déclarait Bruce Bishins.