Alors que l'enquète sur les circonstances de l'accident de AF 358 à Toronto débute, les questions sur la décision qu'a pris le commandant de bord d'atterrir dans des conditions difficiles commencent à fuser. Le PDG d'Air France, Jean Cyrille Spinetta, révélait hier que c'était le premier officier (copilote) qui était aux commandes au moment de l'atterrissage.
Par ailleurs le PDG d'Air France et le ministre des transport du Canada Jean Lapierre, semblent avoir des points de vue divergeants quant aux responsabilités respectives, le premier faisant valoir que les autorités aéroportuaires n'avaient ni déconseillé un atterrissage ni fermé l'aéroport. "Les autorités aéroportuaires apparemment ont estimé que les conditions pour atterrir étaient difficiles mais restaient possibles", disait M. Spinetta lors d'une conférence de presse.
L'autre, Jean Lapierre rappelle que "La seule personne qui prend la décision d'atterrir c'est le pilote, c'est le commandant. Et par conséquent lui seul a la responsabilité totale de cette décision-là".
Par ailleurs le PDG d'Air France et le ministre des transport du Canada Jean Lapierre, semblent avoir des points de vue divergeants quant aux responsabilités respectives, le premier faisant valoir que les autorités aéroportuaires n'avaient ni déconseillé un atterrissage ni fermé l'aéroport. "Les autorités aéroportuaires apparemment ont estimé que les conditions pour atterrir étaient difficiles mais restaient possibles", disait M. Spinetta lors d'une conférence de presse.
L'autre, Jean Lapierre rappelle que "La seule personne qui prend la décision d'atterrir c'est le pilote, c'est le commandant. Et par conséquent lui seul a la responsabilité totale de cette décision-là".