L’association Airlines for Europe (A4E) a une nouvelle fois interpellé la Commission européenne, comme elle l’avait fait en mars au plus fort de la grève de contrôleurs aériens français, pour qu’elle atténue les effets d’un éventuel conflit social, rapporte le quotidien belge Le Soir.
A4E, qui défend les intérêts de grands transporteurs basés sur le Vieux continent dont Ryanair, easyJet, Air France, Lufthansa et British Airways, souhaite un «arbitrage obligatoire avant que les syndicats de contrôleurs aériens ne menacent de lancer une grève».
L’organisation veut aussi un «préavis de 21 jours» pour ces grèves et insiste à nouveau sur la «protection des survols» du pays où le mouvement social a lieu, ainsi qu’un «droit de recours auprès des fournisseurs de services de navigation aérienne» pour être dédommagés du coût des perturbations, a-t-elle expliqué dans un communiqué, cité par Le Soir.
A la mi-avril, l’organisme de surveillance du trafic aérien Eurocontrol avait estimé que 30% des vols en Europe, soit «plus de 10 millions» de passagers, avaient été touchés depuis début mars par la grève des aiguilleurs du ciel français, en lien avec la réforme des retraites.
Mardi, près de 965.000 personnes avaient signé une pétition lancée le 20 mars par Ryanair, première compagnie européenne pour le nombre de passagers, afin d’appeler les autorités européennes à protéger ces survols.
«Nous respectons le droit de grève, mais les effets en cascade de perturbations des vols entre Etats membres sont insupportables. Des millions d’Européens souhaitant voyager cet été risquent de voir leurs projets réduits en miettes par des grèves», a prévenu le directeur général par intérim d’A4E, Laurent Donceel, cité dans le communiqué.
(Avec Le Soir)
A4E, qui défend les intérêts de grands transporteurs basés sur le Vieux continent dont Ryanair, easyJet, Air France, Lufthansa et British Airways, souhaite un «arbitrage obligatoire avant que les syndicats de contrôleurs aériens ne menacent de lancer une grève».
L’organisation veut aussi un «préavis de 21 jours» pour ces grèves et insiste à nouveau sur la «protection des survols» du pays où le mouvement social a lieu, ainsi qu’un «droit de recours auprès des fournisseurs de services de navigation aérienne» pour être dédommagés du coût des perturbations, a-t-elle expliqué dans un communiqué, cité par Le Soir.
A la mi-avril, l’organisme de surveillance du trafic aérien Eurocontrol avait estimé que 30% des vols en Europe, soit «plus de 10 millions» de passagers, avaient été touchés depuis début mars par la grève des aiguilleurs du ciel français, en lien avec la réforme des retraites.
Mardi, près de 965.000 personnes avaient signé une pétition lancée le 20 mars par Ryanair, première compagnie européenne pour le nombre de passagers, afin d’appeler les autorités européennes à protéger ces survols.
«Nous respectons le droit de grève, mais les effets en cascade de perturbations des vols entre Etats membres sont insupportables. Des millions d’Européens souhaitant voyager cet été risquent de voir leurs projets réduits en miettes par des grèves», a prévenu le directeur général par intérim d’A4E, Laurent Donceel, cité dans le communiqué.
(Avec Le Soir)