Communiqué de l'AITC
L’Association de l’industrie touristique du Canada (AITC) a annoncé aujourd’hui la formation d’un Comité national sur les croisières. Celui-ci est composé de membres de l’AITC et d’organisations canadiennes oeuvrant dans le secteur des croisières, qui demandent qu’on accorde à celui-ci le même traitement que celui réservé aux autres secteurs de l’industrie touristique canadienne.
« Nous sommes heureux d’annoncer la création de ce nouveau comité, qui s’inscrit dans les nombreuses initiatives de l’AITC pour défendre les intérêts de l’industrie, a dit Beth Potter, présidente-directrice générale de l’AITC. L’économie touristique est composée d’une variété de secteurs, et celui des croisières en est certes un élément important. Il génère en effet quelque 30 000 emplois directs au Canada. »
Le comité exercera un rôle consultatif afin d’identifier les enjeux affectant le secteur des croisières, et également de soumettre des informations à jour et des recommandations au comité de relance de l’AITC sur une base régulière. Les membres du Comité national sur les croisières représentent l’ensemble des régions du pays affectées par l’interruption des croisières, soit les provinces de l’Atlantique, le Québec, l’Ontario, la Colombie-Britannique et le Nord du Canada.
« Nous oeuvrons dans un secteur de l’industrie touristique qui est à toute fin pratique en ‘‘confinement’’ jusqu’au printemps 2022, étant donné que le gouvernement fédéral a interdit toute croisière jusqu’au 28 février de cette même année, a souligné Danielle Timmons, présidente du Comité national sur les croisières de l’AITC. Or, il s’agit d’une période cruciale pour remettre le secteur des croisières en marche. Le comité appuie entièrement la campagne récente de l’AITC portant sur une réouverture de la frontière canado-américaine. Notre objectif est de conscientiser et d’informer les gens sur les entreprises du secteur des croisières qui subissent les contrecoups de ce ‘‘confinement’’, et de générer un appui envers notre situation. »
D’ailleurs, muni d’une liste de parties prenantes qui surpasse les 300 noms, le comité peut déjà compter sur plusieurs appuis. Les entreprises qui forment la chaîne d’approvisionnement du secteur canadien des croisières injectent quelque 4,3 milliards $ annuellement dans l’économie canadienne. Compte tenu du projet de loi Alaska Tourism Restoration Act (ATRA) récemment promulgué, et du fait que les croisières ont repris en toute sécurité dans d’autres régions du monde, il devient essentiel pour le Canada de rassurer et de bien informer ses partenaires américains de l’industrie des croisières, ainsi que les millions de Canadiens qui dépendent de ce secteur.
« Il importe de conscientiser et d’informer les gens, et également de générer des appuis et un financement pour les entreprises qui forment la chaîne d’approvisionnement de l’industrie des croisières, afin de favoriser une reprise et une exploitation soutenues de ce secteur, et d’assurer que celui-ci sera fin prêt à reprendre ses activités en 2022 », a ajouté Timmons.
« Les entreprises canadiennes du secteur des croisières se trouvent dans une situation unique, indique pour sa part Potter. Or, si nous souhaitons certes assister à une relance de l’industrie au cours de l’été, il importe d’accorder une priorité à un soutien spécifique au secteur des croisières. »
Le comité souhaite envoyer un message clair à savoir que ce secteur est prêt à accueillir de nouveau les navires, et que nous sommes confiants que nos partenaires sauront adhérer aux protocoles en vigueur afin d’assurer la sécurité de leurs clients, leur équipage et les communautés qu’ils visitent.
« Nous sommes heureux d’annoncer la création de ce nouveau comité, qui s’inscrit dans les nombreuses initiatives de l’AITC pour défendre les intérêts de l’industrie, a dit Beth Potter, présidente-directrice générale de l’AITC. L’économie touristique est composée d’une variété de secteurs, et celui des croisières en est certes un élément important. Il génère en effet quelque 30 000 emplois directs au Canada. »
Le comité exercera un rôle consultatif afin d’identifier les enjeux affectant le secteur des croisières, et également de soumettre des informations à jour et des recommandations au comité de relance de l’AITC sur une base régulière. Les membres du Comité national sur les croisières représentent l’ensemble des régions du pays affectées par l’interruption des croisières, soit les provinces de l’Atlantique, le Québec, l’Ontario, la Colombie-Britannique et le Nord du Canada.
« Nous oeuvrons dans un secteur de l’industrie touristique qui est à toute fin pratique en ‘‘confinement’’ jusqu’au printemps 2022, étant donné que le gouvernement fédéral a interdit toute croisière jusqu’au 28 février de cette même année, a souligné Danielle Timmons, présidente du Comité national sur les croisières de l’AITC. Or, il s’agit d’une période cruciale pour remettre le secteur des croisières en marche. Le comité appuie entièrement la campagne récente de l’AITC portant sur une réouverture de la frontière canado-américaine. Notre objectif est de conscientiser et d’informer les gens sur les entreprises du secteur des croisières qui subissent les contrecoups de ce ‘‘confinement’’, et de générer un appui envers notre situation. »
D’ailleurs, muni d’une liste de parties prenantes qui surpasse les 300 noms, le comité peut déjà compter sur plusieurs appuis. Les entreprises qui forment la chaîne d’approvisionnement du secteur canadien des croisières injectent quelque 4,3 milliards $ annuellement dans l’économie canadienne. Compte tenu du projet de loi Alaska Tourism Restoration Act (ATRA) récemment promulgué, et du fait que les croisières ont repris en toute sécurité dans d’autres régions du monde, il devient essentiel pour le Canada de rassurer et de bien informer ses partenaires américains de l’industrie des croisières, ainsi que les millions de Canadiens qui dépendent de ce secteur.
« Il importe de conscientiser et d’informer les gens, et également de générer des appuis et un financement pour les entreprises qui forment la chaîne d’approvisionnement de l’industrie des croisières, afin de favoriser une reprise et une exploitation soutenues de ce secteur, et d’assurer que celui-ci sera fin prêt à reprendre ses activités en 2022 », a ajouté Timmons.
« Les entreprises canadiennes du secteur des croisières se trouvent dans une situation unique, indique pour sa part Potter. Or, si nous souhaitons certes assister à une relance de l’industrie au cours de l’été, il importe d’accorder une priorité à un soutien spécifique au secteur des croisières. »
Le comité souhaite envoyer un message clair à savoir que ce secteur est prêt à accueillir de nouveau les navires, et que nous sommes confiants que nos partenaires sauront adhérer aux protocoles en vigueur afin d’assurer la sécurité de leurs clients, leur équipage et les communautés qu’ils visitent.