Bruce Bishins Président de CSTAR
Dans une lettre ouverte datée du 9 août qu'elle adresse à ses membres, l'ACTA répond aux attaques de sa rivale CSTAR et de son président Bruce Bishins qui, dans un communiqué, dont nous n'avons pas obtenu copie, accuse l'association d'être " coupée de ses membres."
La rivalité entre l'ACTA et CSTAR a connu son apogée en 2004, dans le contexte de ce qu'il convenait d'appeler à l'époque le "rapprochement entre l'ACTA et l'APAV", une véritable saga sur fond d'intrigue juridique qui devait aboutir à la fermeture de l'APAV et à la réintégration du Québec dans le giron de l'ACTA sous forme d'un conseil régional consultatif présidé par Jean Collette, devenu depuis, également, le président du conseil d'administration de l'ACTA nationale.
À l'époque, la rivalité entre l'ACTA et CSTAR opposait surtout deux hommes, Bruce Bishins de CSTAR et Marc - André Charlebois PDG de l'ACTA - un poste que convoitait Bruce Bishins. Mais L'ACTA s' est retrouvée sans PDG, suite au départ discret de Marc André Charlebois, d'abord officieusement pour raisons de santé en 2005 et puis officiellement au printemps 2006. Une absence qui en dépit du travail acharné de Christiane Théberge, VP affaires publiques de l'ACTA, a laissé beaucoup de terrain à un Bruce Bishins redoublant d'ardeur sur toutes les tribunes et dans tous les débats de l'industrie. Le poste de PDG de l'ACTA n'étant toujours pas comblé, Bruce Bishins voit peut être une deuxième chance d'accéder à la fonction...
Récemment élu membre du conseil d'administration de TICO ( l'organisme de réglementation de l'industrie en Ontario), Bruce Bishins s'est empressé d'attaquer d'autres membres du conseil d'administration, membres de l'ACTA, pour leur prise de position en faveur d'une augmentation des frais d'adhésion à Tico. Une augmentation à laquelle Bishins se dit opposé. Il reproche également aux membres de l'ACTA qui sont sur le CA de Tico de s'absenter de certaines réunions .
Bruce Bishins a encore fait parler de lui récemment dans le dossier du BSP Link. Ayant assité aux rencontres sur le BSP link avec l'IATA, rencontres auxquelles l'ACTA n'avait pas assité, son compte rendu de la réunion a laissé perplexe un participant de l'IATA. Ce dernier disait ne pas reconnaître dans le communiqué émis par Bruce Bishins la teneur réelle des ententes conclues lors de la réunion. Dans une lettre adressée à Bruce Bishins et apparemment mise en copie à l'ACTA, le représentant de l'IATA remettait les pendules à l'heure. L'ACTA qui voyait probablement là une belle occasion de miner la crédibilité de Bruce Bishins, publiait cette lettre intégralement dans son newsletter "Scoop."
Un geste vivement critiqué par Bruce Bishins, qui par voie de communiqué blastait à nouveau l'ACTA pour avoir publié sans consultation préalable, une version "biaisée" du compte rendu de la réunion et villipendait le représentant de l'IATA, auteur de la lettre, qui, selon Bruce Bishins, n'avait assité qu'à une partie de la réunion.
Bref, pas une semaine ne passe sans qu'il y ait des escarmouches entre l'ACTA et CSTAR. Un antagonisme qui a peut être le mérite de tenir les deux associations de plus en plus collées sur les dossiers de l'heure.
La rivalité entre l'ACTA et CSTAR a connu son apogée en 2004, dans le contexte de ce qu'il convenait d'appeler à l'époque le "rapprochement entre l'ACTA et l'APAV", une véritable saga sur fond d'intrigue juridique qui devait aboutir à la fermeture de l'APAV et à la réintégration du Québec dans le giron de l'ACTA sous forme d'un conseil régional consultatif présidé par Jean Collette, devenu depuis, également, le président du conseil d'administration de l'ACTA nationale.
À l'époque, la rivalité entre l'ACTA et CSTAR opposait surtout deux hommes, Bruce Bishins de CSTAR et Marc - André Charlebois PDG de l'ACTA - un poste que convoitait Bruce Bishins. Mais L'ACTA s' est retrouvée sans PDG, suite au départ discret de Marc André Charlebois, d'abord officieusement pour raisons de santé en 2005 et puis officiellement au printemps 2006. Une absence qui en dépit du travail acharné de Christiane Théberge, VP affaires publiques de l'ACTA, a laissé beaucoup de terrain à un Bruce Bishins redoublant d'ardeur sur toutes les tribunes et dans tous les débats de l'industrie. Le poste de PDG de l'ACTA n'étant toujours pas comblé, Bruce Bishins voit peut être une deuxième chance d'accéder à la fonction...
Récemment élu membre du conseil d'administration de TICO ( l'organisme de réglementation de l'industrie en Ontario), Bruce Bishins s'est empressé d'attaquer d'autres membres du conseil d'administration, membres de l'ACTA, pour leur prise de position en faveur d'une augmentation des frais d'adhésion à Tico. Une augmentation à laquelle Bishins se dit opposé. Il reproche également aux membres de l'ACTA qui sont sur le CA de Tico de s'absenter de certaines réunions .
Bruce Bishins a encore fait parler de lui récemment dans le dossier du BSP Link. Ayant assité aux rencontres sur le BSP link avec l'IATA, rencontres auxquelles l'ACTA n'avait pas assité, son compte rendu de la réunion a laissé perplexe un participant de l'IATA. Ce dernier disait ne pas reconnaître dans le communiqué émis par Bruce Bishins la teneur réelle des ententes conclues lors de la réunion. Dans une lettre adressée à Bruce Bishins et apparemment mise en copie à l'ACTA, le représentant de l'IATA remettait les pendules à l'heure. L'ACTA qui voyait probablement là une belle occasion de miner la crédibilité de Bruce Bishins, publiait cette lettre intégralement dans son newsletter "Scoop."
Un geste vivement critiqué par Bruce Bishins, qui par voie de communiqué blastait à nouveau l'ACTA pour avoir publié sans consultation préalable, une version "biaisée" du compte rendu de la réunion et villipendait le représentant de l'IATA, auteur de la lettre, qui, selon Bruce Bishins, n'avait assité qu'à une partie de la réunion.
Bref, pas une semaine ne passe sans qu'il y ait des escarmouches entre l'ACTA et CSTAR. Un antagonisme qui a peut être le mérite de tenir les deux associations de plus en plus collées sur les dossiers de l'heure.
Le 9 août 2006 Lettre ouverte aux membres de l’ACTA :
Au fil des ans, l’ACTA a souvent subi les attaques publiques du Canadian Standard Travel Agency Registry (CSTAR). Habituellement l’ACTA préfère ne pas se livrer à une guerre de paroles, croyant qu’il est beaucoup plus important de consacrer son temps et ses ressources limitées aux enjeux qui peuvent avoir une incidence favorable sur le secteur.
Après avoir lu le dernier communiqué du CSTAR, nous sommes profondément offensés par les accusations qui y sont proférées, à savoir que l’ACTA est coupée de ses membres et ne cherche pas à obtenir leur apport. Nous tenons à mettre les choses au clair à ce sujet.
L’ACTA est une force dynamique du secteur canadien des voyages depuis 30 ans.
L’Association représente les intérêts de ses membres, soit 2 600 agences de voyages d’affaires et d’agrément de petite, moyenne et grande taille, de même que des plus de 19 000 professionnels des voyages au détail que celles-ci emploient partout au Canada. Afin de servir et de représenter ses membres, l’ACTA réalise ses activités selon une structure démocratique comptant des représentants dûment élus à la fois à l’échelon régional et national.
Depuis sa fondation, l’ACTA a régulièrement sollicité l’apport des membres concernant les enjeux auxquels fait face le secteur et elle entend continuer de le faire. De fait, l’ACTA demande la rétroaction des membres par divers moyens, notamment les tribunes libres, les sondages, les réunions sectorielles, etc., et ces activités se déroulent aux échelons tant régional que national. La rétroaction communiquée sert ensuite à dresser le plan de travail annuel de l’Association. De plus, l’Association s’affaire à gérer les enjeux où, de nouveau, elle demande la contribution et la participation des membres et cherche à les engager dans un dialogue ouvert. À ce titre, mentionnons seulement la récente campagne auprès d’Air Canada Tango et notre appel à l’action qu’ont signé plus de 3 000 agents.
L’ACTA aimerait rappeler à ses membres que les gouvernements fédéral et provinciaux, les intervenants sectoriels et les fournisseurs reconnaissent tous que l’Association est le porte-parole du milieu canadien des voyages au détail. Si l’ACTA ne prenait pas le pouls du secteur, on ne pourrait lui accorder cette reconnaissance ni l’inviter à participer aux réunions de conseils, de comités et d’intervenants ainsi que de groupes consultatifs dont elle est membre. Rappelons que dans les trois provinces réglementées, soit l’Ontario, le Québec et la Colombie-Britannique, l’ACTA a été chargée de représenter la communauté des agents de voyages au détail aux conseils d’administration ou aux comités de trois organismes de réglementation, respectivement le Travel Industry Council of Ontario (TICO), l’Office de la protection du consommateur (OPC) et la Business Practices and Consumer Protection Authority (BPCPA). Laissez-moi vous assurer que l’ACTA ne prend pas ce privilège à la légère.
Les membres de l’ACTA qui acceptent de telles nominations continuent de consacrer des heures innombrables pour le compte des membres. Ils remplissent leurs fonctions à titre de bénévoles tout en exploitant leur propre entreprise, ce qui devrait leur valoir tous nos remerciements.
Dans son bulletin d’information électronique hebdomadaire SCOOP, l’ACTA cherche à vous renseigner sur les nombreuses questions qui nous touchent personnellement. L’ACTA donne des exposés à divers organismes publics, soutient un dialogue avec les entreprises et organismes, notamment Moneris concernant son augmentation des droits des commerçants, et a offert de l’aide aux membres durant la migration du BSP. En bout de ligne, nous travaillons pour vous!
Nous aimerions prendre l’occasion de vous inciter à faire part de vos vues et à vous engager auprès de votre association sectorielle. Si vous n’êtes pas d’accord sur les décisions prises, communiquez avec nous et c’est avec plaisir que nous recevrons vos commentaires. De plus, si vous pouvez consacrer de votre temps, nous vous encourageons à présenter votre candidature à un siège à votre conseil régional.
Je tiens à vous remercier de votre soutien.
Christiane Théberge
Vice-présidente, Administration et Affaires publiques
Après avoir lu le dernier communiqué du CSTAR, nous sommes profondément offensés par les accusations qui y sont proférées, à savoir que l’ACTA est coupée de ses membres et ne cherche pas à obtenir leur apport. Nous tenons à mettre les choses au clair à ce sujet.
L’ACTA est une force dynamique du secteur canadien des voyages depuis 30 ans.
L’Association représente les intérêts de ses membres, soit 2 600 agences de voyages d’affaires et d’agrément de petite, moyenne et grande taille, de même que des plus de 19 000 professionnels des voyages au détail que celles-ci emploient partout au Canada. Afin de servir et de représenter ses membres, l’ACTA réalise ses activités selon une structure démocratique comptant des représentants dûment élus à la fois à l’échelon régional et national.
Depuis sa fondation, l’ACTA a régulièrement sollicité l’apport des membres concernant les enjeux auxquels fait face le secteur et elle entend continuer de le faire. De fait, l’ACTA demande la rétroaction des membres par divers moyens, notamment les tribunes libres, les sondages, les réunions sectorielles, etc., et ces activités se déroulent aux échelons tant régional que national. La rétroaction communiquée sert ensuite à dresser le plan de travail annuel de l’Association. De plus, l’Association s’affaire à gérer les enjeux où, de nouveau, elle demande la contribution et la participation des membres et cherche à les engager dans un dialogue ouvert. À ce titre, mentionnons seulement la récente campagne auprès d’Air Canada Tango et notre appel à l’action qu’ont signé plus de 3 000 agents.
L’ACTA aimerait rappeler à ses membres que les gouvernements fédéral et provinciaux, les intervenants sectoriels et les fournisseurs reconnaissent tous que l’Association est le porte-parole du milieu canadien des voyages au détail. Si l’ACTA ne prenait pas le pouls du secteur, on ne pourrait lui accorder cette reconnaissance ni l’inviter à participer aux réunions de conseils, de comités et d’intervenants ainsi que de groupes consultatifs dont elle est membre. Rappelons que dans les trois provinces réglementées, soit l’Ontario, le Québec et la Colombie-Britannique, l’ACTA a été chargée de représenter la communauté des agents de voyages au détail aux conseils d’administration ou aux comités de trois organismes de réglementation, respectivement le Travel Industry Council of Ontario (TICO), l’Office de la protection du consommateur (OPC) et la Business Practices and Consumer Protection Authority (BPCPA). Laissez-moi vous assurer que l’ACTA ne prend pas ce privilège à la légère.
Les membres de l’ACTA qui acceptent de telles nominations continuent de consacrer des heures innombrables pour le compte des membres. Ils remplissent leurs fonctions à titre de bénévoles tout en exploitant leur propre entreprise, ce qui devrait leur valoir tous nos remerciements.
Dans son bulletin d’information électronique hebdomadaire SCOOP, l’ACTA cherche à vous renseigner sur les nombreuses questions qui nous touchent personnellement. L’ACTA donne des exposés à divers organismes publics, soutient un dialogue avec les entreprises et organismes, notamment Moneris concernant son augmentation des droits des commerçants, et a offert de l’aide aux membres durant la migration du BSP. En bout de ligne, nous travaillons pour vous!
Nous aimerions prendre l’occasion de vous inciter à faire part de vos vues et à vous engager auprès de votre association sectorielle. Si vous n’êtes pas d’accord sur les décisions prises, communiquez avec nous et c’est avec plaisir que nous recevrons vos commentaires. De plus, si vous pouvez consacrer de votre temps, nous vous encourageons à présenter votre candidature à un siège à votre conseil régional.
Je tiens à vous remercier de votre soutien.
Christiane Théberge
Vice-présidente, Administration et Affaires publiques