Depuis vendredi 6 décembre, une grève des fonctionnaires territoriaux, incluant les pompiers des aéroports, paralyse une partie du trafic aérien polynésien. Des centaines de touristes se retrouvent sans solution, rapporte notamment Le Parisien.
La grève entamée le vendredi 6 décembre par la Fédération de rassemblement des agents des administrations de Polynésie (FRAAP), commence à prendre de l'ampleur. Moins d'une semaine après le début de la mobilisation des fonctionnaires territoriaux, près de 250 vols ont été annulés et des milliers de passagers, dont 800 touristes restent bloqués dans les îles polynésiennes.
Beaucoup tentent de rejoindre les zones où circulent encore des avions. "Quarante personnes, dont des enfants et un bébé, sont parties cette nuit en bateau pour rejoindre Rangiroa", témoigne une touriste française en vacances dans un atoll des Tuamotu, citée par le quotidien. Selon elle, la traversée était dangereuse. "Avant-hier, 10 personnes ont payé 1 000 euros chacune pour 17 heures de catamaran jusqu’à Papeete", ajoute une femme diabétique, bientôt à court de médicaments. Des vols sont organisés pour rapatrier les élèves locaux, dont la plupart sont scolarisés à Tahiti.
(Avec Orange.fr)
La grève entamée le vendredi 6 décembre par la Fédération de rassemblement des agents des administrations de Polynésie (FRAAP), commence à prendre de l'ampleur. Moins d'une semaine après le début de la mobilisation des fonctionnaires territoriaux, près de 250 vols ont été annulés et des milliers de passagers, dont 800 touristes restent bloqués dans les îles polynésiennes.
Beaucoup tentent de rejoindre les zones où circulent encore des avions. "Quarante personnes, dont des enfants et un bébé, sont parties cette nuit en bateau pour rejoindre Rangiroa", témoigne une touriste française en vacances dans un atoll des Tuamotu, citée par le quotidien. Selon elle, la traversée était dangereuse. "Avant-hier, 10 personnes ont payé 1 000 euros chacune pour 17 heures de catamaran jusqu’à Papeete", ajoute une femme diabétique, bientôt à court de médicaments. Des vols sont organisés pour rapatrier les élèves locaux, dont la plupart sont scolarisés à Tahiti.
(Avec Orange.fr)