Communiqué d'ADM
La haute direction d’ADM Aéroports de Montréal tient à réagir contre les propos diffamatoires véhiculés dans l’article « Tension et frictions autour d’un colis suspect » publié ce matin (11 déc) dans La Presse. Tout d’abord, elle tient à réitérer que la sûreté et la sécurité des usagers et du public-voyageur à YUL Aéroport international Montréal-Trudeau est une priorité de tous les instants. Jamais elle n’acceptera qu’un partenaire mal intentionné invoque le contraire.
L’incident survenu dans l’aérogare le 11 novembre dernier a été traité avec les précautions d’usage, c’est-à-dire que les équipes de la Sûreté aéroportuaire d’ADM ont collaboré, comme elles le font systématiquement, avec leurs partenaires, notamment le transporteur, le SPVM, la GRC, l’Administration canadienne de sécurité du transport et Transports Canada. L’objectif ultime des mesures prises était de garantir la sécurité des passagers et des employés sur le site aéroportuaire, un impératif constant pour ADM Aéroports de Montréal – et en lien avec les exigences de la réglementation applicable. En aucun cas ADM prend des décisions de sûreté basées sur la profitabilité de ses opérations. Il s’agit là d’une accusation grossière, mal fondée et totalement erronée. YUL est probablement le lieu public où les considérations de sûreté et sécurité sont les plus élevées et appliquées de la manière la plus stricte à Montréal.
Afin de respecter la réglementation qui s’applique à elle, ADM ne divulguera aucun détail concernant la situation mentionnée dans l’article de façon à ne pas compromettre la fiabilité des processus en place déployés par son équipe de Sûreté ainsi que celle des différents corps policiers concernés par
l’événement. De plus, les sources anonymes ayant coulé ces informations contreviennent au Règlement canadien de 2012 sur la sûreté aérienne, ce qui constitue une infraction pénale. L’autorité aéroportuaire juge d’ailleurs déplorable que ce genre d’information coule dans les médias, sans égard au contexte ni aux faits qui sont multiples et complexes. ADM se limitera à mentionner que les informations véhiculées dans l’article de La Presse ne représentent pas la réalité et dénotent une mauvaise compréhension des processus et moyens mis en place afin d’assurer la sûreté et la sécurité.
Rappelons également que ces déclarations ont été faites alors qu’un changement de fournisseur s’apprête à s’opérer dans le cadre d’un contrat de commercialisation pour la réponse armée aux points de fouille ainsi qu’au précontrôle américain à YUL suivant un rigoureux appel d’offres. Bien qu’ADM puisse comprendre la déception du SPVM à la suite de la perte de ce contrat lucratif, elle juge inacceptable que ses membres de l’unité aéroportuaire - dont certains ne cachent pas leur mécontentement et faisaient partie intégrante de la cellule de crise du 11 novembre - instrumentalisent la situation de façon à tenter d’ébranler inutilement le sentiment de sécurité de la population. Malgré les changements à venir, ADM considère le SPVM comme étant un partenaire important, qui fait partie prenante de l’écosystème de l’aéroport depuis de nombreuses années et continuera de traiter cette relation avec tout le respect qu’elle nécessite dans l’intérêt du public.
L’incident survenu dans l’aérogare le 11 novembre dernier a été traité avec les précautions d’usage, c’est-à-dire que les équipes de la Sûreté aéroportuaire d’ADM ont collaboré, comme elles le font systématiquement, avec leurs partenaires, notamment le transporteur, le SPVM, la GRC, l’Administration canadienne de sécurité du transport et Transports Canada. L’objectif ultime des mesures prises était de garantir la sécurité des passagers et des employés sur le site aéroportuaire, un impératif constant pour ADM Aéroports de Montréal – et en lien avec les exigences de la réglementation applicable. En aucun cas ADM prend des décisions de sûreté basées sur la profitabilité de ses opérations. Il s’agit là d’une accusation grossière, mal fondée et totalement erronée. YUL est probablement le lieu public où les considérations de sûreté et sécurité sont les plus élevées et appliquées de la manière la plus stricte à Montréal.
Afin de respecter la réglementation qui s’applique à elle, ADM ne divulguera aucun détail concernant la situation mentionnée dans l’article de façon à ne pas compromettre la fiabilité des processus en place déployés par son équipe de Sûreté ainsi que celle des différents corps policiers concernés par
l’événement. De plus, les sources anonymes ayant coulé ces informations contreviennent au Règlement canadien de 2012 sur la sûreté aérienne, ce qui constitue une infraction pénale. L’autorité aéroportuaire juge d’ailleurs déplorable que ce genre d’information coule dans les médias, sans égard au contexte ni aux faits qui sont multiples et complexes. ADM se limitera à mentionner que les informations véhiculées dans l’article de La Presse ne représentent pas la réalité et dénotent une mauvaise compréhension des processus et moyens mis en place afin d’assurer la sûreté et la sécurité.
Rappelons également que ces déclarations ont été faites alors qu’un changement de fournisseur s’apprête à s’opérer dans le cadre d’un contrat de commercialisation pour la réponse armée aux points de fouille ainsi qu’au précontrôle américain à YUL suivant un rigoureux appel d’offres. Bien qu’ADM puisse comprendre la déception du SPVM à la suite de la perte de ce contrat lucratif, elle juge inacceptable que ses membres de l’unité aéroportuaire - dont certains ne cachent pas leur mécontentement et faisaient partie intégrante de la cellule de crise du 11 novembre - instrumentalisent la situation de façon à tenter d’ébranler inutilement le sentiment de sécurité de la population. Malgré les changements à venir, ADM considère le SPVM comme étant un partenaire important, qui fait partie prenante de l’écosystème de l’aéroport depuis de nombreuses années et continuera de traiter cette relation avec tout le respect qu’elle nécessite dans l’intérêt du public.