L'UNESCO a salué comme « un grand succès » le premier test à l'échelle régionale du système d'alerte aux tsunamis du Pacifique, félicitant les 30 pays qui ont participé à cet exercice.
Selon l'UNESCO, « La simulation a montré que notre système de communication fonctionne correctement. Les autorités de tous les pays participants ont reçu rapidement les bulletins d'information du Centre d'alerte aux tsunamis dans le Pacifique d'Honolulu et elles ont pu réagir en conséquence. Même si une analyse détaillée doit encore être effectuée, il est évident que la simulation a été un grand succès ». L'UNESCO a ajouté que « Selon le scénario utilisé pour ce test baptisé 'Exercise Pacific Wave', un séisme d'une magnitude de 9,2 localisé au large du Chili, déclenchait un tsunami dans le Pacifique Est. Un second faux bulletin d'alerte, annonçant un séisme au nord des Philippines, a permis de tester les réactions dans le Pacifique Ouest ».
« L'exercice était basé sur des scénarios très réalistes », a déclaré Patricio Bernal, Secrétaire exécutif de la Commission océanographique intergouvernementale (COI) de l'UNESCO. Il a précisé que « Notre souci principal était de tester les réseaux de communication afin d'être sûr que les bulletins d'information étaient émis rapidement et qu'ils parvenaient aux personnes adéquates dans tous les pays participants. Les premiers rapports montrent que tout a bien fonctionné malgré les complications provoquées par des tremblements de terre bien réels qui sont intervenus dans la région, un peu avant et même pendant le test ». Selon lui, « Les premiers résultats ont aussi mis en évidence quelques points sur lesquels le réseau doit être amélioré de façon à fonctionner 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. »
Plusieurs pays, notamment la Malaisie, les Philippines, Samoa et la Thaïlande, ont également testé leurs services d'urgence aux tsunamis au plan local et évacué des communautés côtières sélectionnées. Des évaluations de l'exercice sont en cours et une analyse plus précise des résultats sera préparée et diffusée afin de permettre aux pays et organisations de renforcer leur capacité de réponse face à une catastrophe véritable, indique l'agence des Nations Unies.
« 'Exercise Pacific Wave' a été coordonné à partir du Centre d'alerte aux tsunamis du Pacifique (Hawaï) qui est au cœur du Système d'alerte aux tsunamis dans le Pacifique, créé il y a plus de 40 ans par la Commission océanographique intergouvernementale (COI) de l'UNESCO ». Selon l'agence, des systèmes du même genre doivent être mis en place par la COI dans l'océan Indien, l'Atlantique Nord-Est, la Méditerranée et les mers adjacentes, ainsi que dans les Caraïbes, en vue d'aboutir à un système mondial d'alerte aux tsunamis et d'atténuation de leurs effets qui soit opérationnel vers la fin 2007.
Selon l'UNESCO, « La simulation a montré que notre système de communication fonctionne correctement. Les autorités de tous les pays participants ont reçu rapidement les bulletins d'information du Centre d'alerte aux tsunamis dans le Pacifique d'Honolulu et elles ont pu réagir en conséquence. Même si une analyse détaillée doit encore être effectuée, il est évident que la simulation a été un grand succès ». L'UNESCO a ajouté que « Selon le scénario utilisé pour ce test baptisé 'Exercise Pacific Wave', un séisme d'une magnitude de 9,2 localisé au large du Chili, déclenchait un tsunami dans le Pacifique Est. Un second faux bulletin d'alerte, annonçant un séisme au nord des Philippines, a permis de tester les réactions dans le Pacifique Ouest ».
« L'exercice était basé sur des scénarios très réalistes », a déclaré Patricio Bernal, Secrétaire exécutif de la Commission océanographique intergouvernementale (COI) de l'UNESCO. Il a précisé que « Notre souci principal était de tester les réseaux de communication afin d'être sûr que les bulletins d'information étaient émis rapidement et qu'ils parvenaient aux personnes adéquates dans tous les pays participants. Les premiers rapports montrent que tout a bien fonctionné malgré les complications provoquées par des tremblements de terre bien réels qui sont intervenus dans la région, un peu avant et même pendant le test ». Selon lui, « Les premiers résultats ont aussi mis en évidence quelques points sur lesquels le réseau doit être amélioré de façon à fonctionner 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. »
Plusieurs pays, notamment la Malaisie, les Philippines, Samoa et la Thaïlande, ont également testé leurs services d'urgence aux tsunamis au plan local et évacué des communautés côtières sélectionnées. Des évaluations de l'exercice sont en cours et une analyse plus précise des résultats sera préparée et diffusée afin de permettre aux pays et organisations de renforcer leur capacité de réponse face à une catastrophe véritable, indique l'agence des Nations Unies.
« 'Exercise Pacific Wave' a été coordonné à partir du Centre d'alerte aux tsunamis du Pacifique (Hawaï) qui est au cœur du Système d'alerte aux tsunamis dans le Pacifique, créé il y a plus de 40 ans par la Commission océanographique intergouvernementale (COI) de l'UNESCO ». Selon l'agence, des systèmes du même genre doivent être mis en place par la COI dans l'océan Indien, l'Atlantique Nord-Est, la Méditerranée et les mers adjacentes, ainsi que dans les Caraïbes, en vue d'aboutir à un système mondial d'alerte aux tsunamis et d'atténuation de leurs effets qui soit opérationnel vers la fin 2007.