À tous les membres de l’ACTA au Québec,
Chers confrères de l’industrie du voyage,
Nous vivons des heures difficiles et nous avons tous été pris par surprise par l’ampleur de cette situation mondiale. Il est impossible, aujourd’hui, de dire quand et comment cela se finira. Comme vous le savez tous, l’industrie du voyage est, surement, la plus importante au monde, que ce soit pour le commercial ou le plaisir, les déplacements internationaux sont incalculables.
Le COVID-19 a freiné, pour ne pas dire stoppé toutes nos activités. Tous les intervenants de ce beau domaine seront touchés. Les compagnies aériennes, les croisiéristes, les hôteliers, les transporteurs terrestres, les tours opérateurs locaux, les sites, les musées, les guides et bien entendu, nous, les agences de voyages.
Au cours des dernières semaines nous avons travaillé à rapatrier nos concitoyens, annuler les vols, forfaits, les excursions, en essayant de suivre les règles qui changeaient très souvent au gré de l’évolution de la situation.
Je sais que nous ne sommes pas tous d’accord avec ces règles, mais nos tours opérateurs subissent un stress encore plus grand que nous et leur but est surtout de rester en fonction pour la prochaine année.
Les gouvernements ont été assez rapides à réagir et ils s’adaptent à la situation en offrant des facilités économiques pour supporter les entreprises. C’est une chance pour nous que le Québec possède un fonds d’indemnisation unique au Canada, ce qui nous aide à protéger les clients qui n’ont pas d’assurance et qui ne peuvent pas protéger leurs actifs.
Comme prévu par la loi, nous avons la responsabilité de services envers nos clients bien que cela soit improductif à court terme.
ACTA, dès le début de cette crise, a pris des dispositions avec le gouvernement fédéral et maintenant le gouvernement provincial pour favoriser le travail partagé qui est un programme de l’assurance chômage, et nous offrons des webinaires sur la problématique des ressources humaines. Nous sommes en contact avec l’OPC pour ouvrir le compte aux remboursements, mais nous supportons l’idée de remettre les frais du FICAV payants.
Il est bien avisé de fermer son agence pour éviter le contact avec les clients. Il faut, aujourd’hui, utiliser la technologie du télétravail sinon le transfert des appels.
Espérons que cette crise ne dure pas éternellement, mais il est certain que cela va changer beaucoup de choses dans notre monde et bien entendu notre domaine passionnant.
Bien à vous et bon courage.
André Desmarais-Président ACTA Québec
Manon Martel, Directrice régionale, ACTA Québec
Ainsi que tout le conseil d’administration de l’ACTA au Québec.
Isabelle St-Amand -Justin Bordeleau
José Manuel Cerrud-Pierre Parent
Mélanie Quirion-Geneviève Turner
Johan Marjanek—Patrice Malacort
Chers confrères de l’industrie du voyage,
Nous vivons des heures difficiles et nous avons tous été pris par surprise par l’ampleur de cette situation mondiale. Il est impossible, aujourd’hui, de dire quand et comment cela se finira. Comme vous le savez tous, l’industrie du voyage est, surement, la plus importante au monde, que ce soit pour le commercial ou le plaisir, les déplacements internationaux sont incalculables.
Le COVID-19 a freiné, pour ne pas dire stoppé toutes nos activités. Tous les intervenants de ce beau domaine seront touchés. Les compagnies aériennes, les croisiéristes, les hôteliers, les transporteurs terrestres, les tours opérateurs locaux, les sites, les musées, les guides et bien entendu, nous, les agences de voyages.
Au cours des dernières semaines nous avons travaillé à rapatrier nos concitoyens, annuler les vols, forfaits, les excursions, en essayant de suivre les règles qui changeaient très souvent au gré de l’évolution de la situation.
Je sais que nous ne sommes pas tous d’accord avec ces règles, mais nos tours opérateurs subissent un stress encore plus grand que nous et leur but est surtout de rester en fonction pour la prochaine année.
Les gouvernements ont été assez rapides à réagir et ils s’adaptent à la situation en offrant des facilités économiques pour supporter les entreprises. C’est une chance pour nous que le Québec possède un fonds d’indemnisation unique au Canada, ce qui nous aide à protéger les clients qui n’ont pas d’assurance et qui ne peuvent pas protéger leurs actifs.
Comme prévu par la loi, nous avons la responsabilité de services envers nos clients bien que cela soit improductif à court terme.
ACTA, dès le début de cette crise, a pris des dispositions avec le gouvernement fédéral et maintenant le gouvernement provincial pour favoriser le travail partagé qui est un programme de l’assurance chômage, et nous offrons des webinaires sur la problématique des ressources humaines. Nous sommes en contact avec l’OPC pour ouvrir le compte aux remboursements, mais nous supportons l’idée de remettre les frais du FICAV payants.
Il est bien avisé de fermer son agence pour éviter le contact avec les clients. Il faut, aujourd’hui, utiliser la technologie du télétravail sinon le transfert des appels.
Espérons que cette crise ne dure pas éternellement, mais il est certain que cela va changer beaucoup de choses dans notre monde et bien entendu notre domaine passionnant.
Bien à vous et bon courage.
André Desmarais-Président ACTA Québec
Manon Martel, Directrice régionale, ACTA Québec
Ainsi que tout le conseil d’administration de l’ACTA au Québec.
Isabelle St-Amand -Justin Bordeleau
José Manuel Cerrud-Pierre Parent
Mélanie Quirion-Geneviève Turner
Johan Marjanek—Patrice Malacort