Communiqué de l'ACTA
L’ACTA aimerait rappeler à ses membres que contrairement à des informations qui ont pu circuler récemment, l’Association est OPPOSÉE à la Résolution 800f de l’IATA.
L’ACTA croit que les exigences financières contenues dans la dite résolution place le risque entier des transactions d’affaires entre les agences et les compagnies aériennes sur les seules épaules des agences, ce que l’Association ne peut accepter comme une base d’affaires entre partenaires. L’ACTA croit de plus que ces nouveaux standards vont pénaliser toutes les agences de voyages en leur créant un fardeau financier injustifié et trop onéreux. L’ACTA a clairement laissé savoir à l’IATA que ces nouvelles exigences étaient en conséquence inacceptable aux agences de voyages canadiennes.
« À la lumière de ceci, l’ACTA a débuté des négociations avec l’IATA en vue de trouver une solution de compromis acceptable aux deux parties et je suis plutôt confiante aujourd’hui qu’un tel compromis soit possible, » a commenté Christiane Théberge, présidente et chef de direction de l’ACTA en ajoutant « l’ACTA a également obtenu que la mise en application de cette Résolution 800f soit retardée jusqu’au 30 juin 2007, afin de nous donner le temps de trouver une solution, ce que je considère comme une preuve de bonne foi de la part de l’IATA dans cette négociation. »
L’ACTA croit que les exigences financières contenues dans la dite résolution place le risque entier des transactions d’affaires entre les agences et les compagnies aériennes sur les seules épaules des agences, ce que l’Association ne peut accepter comme une base d’affaires entre partenaires. L’ACTA croit de plus que ces nouveaux standards vont pénaliser toutes les agences de voyages en leur créant un fardeau financier injustifié et trop onéreux. L’ACTA a clairement laissé savoir à l’IATA que ces nouvelles exigences étaient en conséquence inacceptable aux agences de voyages canadiennes.
« À la lumière de ceci, l’ACTA a débuté des négociations avec l’IATA en vue de trouver une solution de compromis acceptable aux deux parties et je suis plutôt confiante aujourd’hui qu’un tel compromis soit possible, » a commenté Christiane Théberge, présidente et chef de direction de l’ACTA en ajoutant « l’ACTA a également obtenu que la mise en application de cette Résolution 800f soit retardée jusqu’au 30 juin 2007, afin de nous donner le temps de trouver une solution, ce que je considère comme une preuve de bonne foi de la part de l’IATA dans cette négociation. »