Le surplus payé par les voyageurs d'affaire pour avoir la possibilité de modifier leur itinéraire ou leur date de voyage est de l'argent gaspillé, dans la majorité des cas, si l'on se fie à une recherche britannique, effectuée par l'Université de Cranfield.
Selon le magazine Business Traveller, qui rapporte les conclusions de l'étude, la recherche révèle que les voyageurs d'affaires, sur vols court-courrier, n'ont effectué des changements que dans un tiers des cas, même s'ils ont payé le gros prix pour un billet flexible en classe affaire ou éco.
De ce tiers de répondants qui ont modifié leur itinéraire à l'occasion de leur dernier voyage d'affaires, 39.2% ont fait des changements avant leur départ, et 60.8% après.
Le Dr Mason, qui a conduit la recherche, estime que ces chiffres expliquent la raison pour laquelle les voyageurs d'affaires ont le sentiment de ne plus en avoir pour leur argent en achetant des billets flexibles au prix fort. Il invoque par ailleurs, la possibilité qu'offrent dorénavant les transporteurs à rabais d'effectuer des changements d'itinéraires. Selon le Dr Mason, "Dorénavant, les voyageurs n'ont à payer pour la flexibilité que lorsque qu'ils en ont réellement besoin".
Les répondants de cette recherche utilisaient la classe affaires dans une proportion de 22.8% et des pleins-tarifs éeco dans une proportion de 25.3%. Les tarifs éco, sans ou avec peu de flexibilité, étaient les plus populaires dans 36.7% des cas.
Selon le magazine Business Traveller, qui rapporte les conclusions de l'étude, la recherche révèle que les voyageurs d'affaires, sur vols court-courrier, n'ont effectué des changements que dans un tiers des cas, même s'ils ont payé le gros prix pour un billet flexible en classe affaire ou éco.
De ce tiers de répondants qui ont modifié leur itinéraire à l'occasion de leur dernier voyage d'affaires, 39.2% ont fait des changements avant leur départ, et 60.8% après.
Le Dr Mason, qui a conduit la recherche, estime que ces chiffres expliquent la raison pour laquelle les voyageurs d'affaires ont le sentiment de ne plus en avoir pour leur argent en achetant des billets flexibles au prix fort. Il invoque par ailleurs, la possibilité qu'offrent dorénavant les transporteurs à rabais d'effectuer des changements d'itinéraires. Selon le Dr Mason, "Dorénavant, les voyageurs n'ont à payer pour la flexibilité que lorsque qu'ils en ont réellement besoin".
Les répondants de cette recherche utilisaient la classe affaires dans une proportion de 22.8% et des pleins-tarifs éeco dans une proportion de 25.3%. Les tarifs éco, sans ou avec peu de flexibilité, étaient les plus populaires dans 36.7% des cas.