Hier, les autorités grecques révélaient les causes de l'écrasement d'un avion de la compagnie chypriote Helios, survenu près d'Athène en août dernier.
Ce matin, le journal DH.net dévoile les circonstances d'un autre crash.
le 6 août dernier, au large des côtes siciliennes, ATR-72 de la compagnie tunisienne Tuninter, une filiale de Tunisair, tentait un amerrissage qui allait coûter la vie à 16 personnes et en blesser 23 autres. Ses deux moteurs s'étaient arrêtés peu après le décollage. La cause principale de l'accident vient d'être clairement identifiée, rapporte DH.net : elle repose sur une confusion!
La veille de la catastrophe, lors d'un arrêt en Tunisie, la jauge de carburant du bimoteur avait dû être remplacée. Trompé par la forte ressemblance entre le modèle destiné à l'ATR-42 et celui de l'ATR-72, le mécanicien chargé de la réparation les avait intervertis. Rien de grave a priori, sauf que, l'ATR-42 a un réservoir d'une capacité deux fois inférieure à celui de l'ATR-72.
Persuadé d'avoir 3.000 litres de kérosène embarqués, le pilote n'a demandé que 240 litres supplémentaires lors de son départ de Bari. Faute de carburant, il n'atteindra jamais Djerba.
Face à ces éléments accablants, les autorités italiennes ont décidé d'interdire la compagnie de vol dans le pays.
Ce matin, le journal DH.net dévoile les circonstances d'un autre crash.
le 6 août dernier, au large des côtes siciliennes, ATR-72 de la compagnie tunisienne Tuninter, une filiale de Tunisair, tentait un amerrissage qui allait coûter la vie à 16 personnes et en blesser 23 autres. Ses deux moteurs s'étaient arrêtés peu après le décollage. La cause principale de l'accident vient d'être clairement identifiée, rapporte DH.net : elle repose sur une confusion!
La veille de la catastrophe, lors d'un arrêt en Tunisie, la jauge de carburant du bimoteur avait dû être remplacée. Trompé par la forte ressemblance entre le modèle destiné à l'ATR-42 et celui de l'ATR-72, le mécanicien chargé de la réparation les avait intervertis. Rien de grave a priori, sauf que, l'ATR-42 a un réservoir d'une capacité deux fois inférieure à celui de l'ATR-72.
Persuadé d'avoir 3.000 litres de kérosène embarqués, le pilote n'a demandé que 240 litres supplémentaires lors de son départ de Bari. Faute de carburant, il n'atteindra jamais Djerba.
Face à ces éléments accablants, les autorités italiennes ont décidé d'interdire la compagnie de vol dans le pays.