Communiqué de l'ACTA
L'ACTA dénonce l’annonce faite par Northwest Airlines à l’effet qu’à partir du ler septembre, le transporteur fera assumer par les agences de voyages une partie de ses coût associés aux SIR en imposant des frais de 4,75$CAN aller simple et de 9,50$ CAN aller-retour par billet pour les réservations faites à l’aide du SIR. De plus, à compter du 27 août prochain, Northwest imposera aux consommateurs des frais de $5 pour une réservation faite à l’aide de son centre d’appel et de $13 CAN par billet acheté à un guichet d’aéroport. ) lire notre article d'hier
Cette nouvelle politique qui indique clairement l’intention de Northwest d’amener les agents à effectuer les réservations directement sur son site Web amène non seulement des coûts plus élevés pour les consommateurs ainsi que pour les agents de voyages mais aura également des effets marquants sur l’efficacité des agences.
De plus, Northwest mentionne qu’elle offrira ainsi aux consommateurs et aux agents de voyages des options qui leur permettront de choisir le niveau de services qu’ils désirent lorsqu’ils achètent ou émettent des billets. En fait, c’est loin d’être le cas pour les agences de voyages canadiennes qui ne peuvent utiliser le site Web américain et sont donc forcées à utiliser le SIR pour les réservations et en conséquence doivent payer les frais imposés par Northwest. ACTA dénonce cet état de fait comme profondément injuste pour les agences de voyages canadiennes.
ACTA a essayé en vain jusqu’à maintenant d’obtenir des informations du transporteur sur son intention de corriger cette situation, ce qui aurait au moins l’avantage de donner un réel choix de canal de réservation aux agences. Aussitôt que l’information sera obtenue, l’association en informera ses membres.
“ACTA croyait que la nouvelle déréglementation créerait un environnement plus convivial entre les transporteurs et les SIR. Force est de constater, avec ce qui arrive aujourd’hui entre Northwest et Sabre, que nous sommes encore loin de cet objectif,” a commenté Marc-André Charlebois, président et chef de la direction de l’ACTA.
L'ACTA dénonce l’annonce faite par Northwest Airlines à l’effet qu’à partir du ler septembre, le transporteur fera assumer par les agences de voyages une partie de ses coût associés aux SIR en imposant des frais de 4,75$CAN aller simple et de 9,50$ CAN aller-retour par billet pour les réservations faites à l’aide du SIR. De plus, à compter du 27 août prochain, Northwest imposera aux consommateurs des frais de $5 pour une réservation faite à l’aide de son centre d’appel et de $13 CAN par billet acheté à un guichet d’aéroport. ) lire notre article d'hier
Cette nouvelle politique qui indique clairement l’intention de Northwest d’amener les agents à effectuer les réservations directement sur son site Web amène non seulement des coûts plus élevés pour les consommateurs ainsi que pour les agents de voyages mais aura également des effets marquants sur l’efficacité des agences.
De plus, Northwest mentionne qu’elle offrira ainsi aux consommateurs et aux agents de voyages des options qui leur permettront de choisir le niveau de services qu’ils désirent lorsqu’ils achètent ou émettent des billets. En fait, c’est loin d’être le cas pour les agences de voyages canadiennes qui ne peuvent utiliser le site Web américain et sont donc forcées à utiliser le SIR pour les réservations et en conséquence doivent payer les frais imposés par Northwest. ACTA dénonce cet état de fait comme profondément injuste pour les agences de voyages canadiennes.
ACTA a essayé en vain jusqu’à maintenant d’obtenir des informations du transporteur sur son intention de corriger cette situation, ce qui aurait au moins l’avantage de donner un réel choix de canal de réservation aux agences. Aussitôt que l’information sera obtenue, l’association en informera ses membres.
“ACTA croyait que la nouvelle déréglementation créerait un environnement plus convivial entre les transporteurs et les SIR. Force est de constater, avec ce qui arrive aujourd’hui entre Northwest et Sabre, que nous sommes encore loin de cet objectif,” a commenté Marc-André Charlebois, président et chef de la direction de l’ACTA.